Je t’aime

By | 24 de novembre, 2019

Mon ami, c’est tout. C’est ce qu’elle est, une amie avec qui passer du temps, avec qui être est synonyme de plaisir, avec qui il n’y a jamais un manque de rire et de confiance.

Je suppose qu’elle ne serait pas surprise si j’étais attirée par elle ; je ne suis pas la seule. C’est dur de ne pas être attiré par une femme comme ça. Et pas seulement à cause de son corps spectaculaire, de son beau visage, de ses yeux bleus infinis, de ses gros seins turgescents et de son cul dur qui a travaillé toute une vie de sport. Plus frappante encore est sa douceur, son empressement à plaire aux autres et son sourire perpétuel qu’elle donne sans condition.

Il arrive dans 5 minutes. C’est la première fois qu’on se rencontre chez moi. La porte sonne et quand vous l’ouvrez, la lueur qui remplit le couloir apparaît. Nous parlons fort pendant qu’elle vérifie ses messages téléphoniques dans le salon et je finis de faire du café. Comme toujours, je l’ai réchauffé ; on dirait de la lave.
Une fois assise à côté d’elle, je ne peux m’empêcher de regarder son décolleté, elle s’en rend compte mais semble le manquer. Les anecdotes et les rires commencent. Chaque fois qu’elle se penche vers moi, mes yeux disparaissent. C’est supérieur à moi, ça me rend fou.

Je ne sais pas combien de fois elle m’a surpris en train de chercher, je devrais me sentir mal, mais elle ne semble pas s’en soucier, en plus, on pourrait dire qu’elle est flattée.

Entre les sujets, il y a toujours un contact timide, un toucher, une caresse… c’est normal pour nous. A un certain moment, après une de nos confidences, on se serre dans les bras, c’est aussi fréquent mais cette fois-ci ce n’est pas la même chose que d’habitude. Nous nous embrassons longuement, ce qui m’invite à lui donner des baisers innocents sur le cou. A chaque baiser, elle me serre de plus en plus fort. Je sens sa poitrine contre la mienne, je sens sa respiration et elle sent la mienne.

C’est étrange, ce n’est pas comme d’habitude, elle sans défaire l’étreinte me chevauche. Je m’épissure, je ne peux rien faire pour l’éviter, je sais qu’elle le remarque. Elle commence à bouger ses hanches en se frottant contre mon pénis. Je lui mets les doigts dans le dos et je presse contre son sexe. Elle sépare ma tête et la met contre ses seins, je commence à les embrasser, elle ne porte pas de soutien-gorge, juste un t-shirt fin qui me permet de sentir parfaitement son excitation à travers ses mamelons.

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Il n’y a pas de retour en arrière ; j’attrape mon cul, je me lève pendant qu’elle m’entoure de ses jambes ; on s’embrasse sur le chemin de la chambre.

J’avais rêvé de cette situation à maintes reprises, je n’ai jamais pensé que cela allait arriver.

Dans la chambre, je décide de profiter du moment le plus possible. Je prends une ceinture et je lui attache les mains derrière le dos. Je lui couvre les yeux avec un mouchoir. Je remarque son excitation ; il a rechuté et n’a pas dit un mot. Il le veut autant que moi.

C’est l’heure de jouer. J’enlève ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon. Je recrée avec les curiosités. C’est très bon. Je pense seulement au désir que j’ai de finir de la déshabiller et de la baiser ; mais non, je vais m’assurer qu’elle n’oublie jamais cette journée.

Je l’approche par derrière et lui mords le cou, sens son parfum, commence à toucher ses seins sur son t-shirt blanc en lycra, ses mamelons semblent vouloir sortir d’elle. Sous sa main, près de son abdomen, jusqu’à ses cuisses, je les ouvre, les caresse et les serre fermement tout en la tenant contre ma poitrine. Ses mains commencent à chercher mon pénis, mais sa maladresse due à la cravate et à mon pantalon me rend incapable de l’attraper. Il s’impatiente, je remarque son envie, j’aime ça, j’aime ça, j’aime ça.

Je me sépare et commence à jouer avec le fil de son string. Il commence à remuer son corps. Son cul est parfait, il a l’air sculpté. Je commence à caresser légèrement son sexe sans me concentrer sur lui.

Je l’accompagne au lit et je la mets à genoux. J’ai enlevé son t-shirt, je les avais imaginés des millions de fois mais voir ces seins parfaits me fait avaler de la salive plusieurs fois. Je m’accroche à eux et je commence à sucer leurs mamelons. Je les attrape et je les serre fort, sa bouche est entrouverte ; elle est si excitée.

Alors que je continue à saisir ses énormes seins, je m’allonge et je passe la tête entre ses cuisses, je les lèche et je les mords doucement, en commençant par le bas jusqu’à presque son string humide. Je sens son sexe et lui donne une petite bouchée, je retire d’un côté le vêtement et j’observe ses lèvres briller d’humidité ; ce n’est pas encore le moment.

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J’enlève son string et je la pousse contre le lit face contre terre. Je me mets à poil. Je m’agenouille à côté de son cul et je lui mets sa bite dans les mains. Il l’attrape fort, il veut savoir à quoi il a affaire. Je frissonne, j’ai une énorme érection, je pourrais déjà télécharger.

Je lui attrape les hanches et lui mets le cul en grande pompe en m’appuyant sur le matelas de ses seins fermes, elle se laisse tout faire, elle est complètement soumise à mes envies.

Je profite de l’occasion pour l’examiner de nouveau. Je cherche un défaut, mais je ne le trouve pas. J’observe sa chatte parfaitement rasée, son excitation ne permet plus de retenir son flux qui commence à couler à travers ses cuisses. Je commence à le goûter doucement. Je passe ma langue à travers ses lèvres charnues, je les ouvre pour me présenter et je trempe dans son jus. Avant d’essayer son vagin, je lui serre les fesses en les ouvrant un peu plus et je commence à caresser avec la langue de sa chatte parfaite à son cul. J’ai remarqué comment elle se contracte, ça la surprend mais elle aime ça, une trahison gémissante.

Il est temps de lâcher la bête. Il a lâché ses mains et j’ai enlevé son mouchoir. Sans doute, il souffle, prend une bouffée d’air et se jette sur ma bite en la mettant dans sa précieuse bouche. Elle donne tout, elle est incontrôlable, elle aime chaque swing, moi beaucoup plus.

Je suis près de courir, je le sépare et je lui demande d’arrêter. Il retire violemment mes mains et s’accroche plus étroitement à ma bite. Je n’en peux plus. Mon pénis se durcit comme une pierre, elle le remarque et accélère le rythme. Je commence à remarquer les contractions, elle aussi. Elle enlève ma bite de sa bouche et cloue ses yeux bleus dans les miens pendant qu’elle pose mon gland sur sa langue ; elle continue à me masturber.

J’explose. Mon sperme jaillit, remplit sa bouche et glisse le long de sa langue jusqu’à ses seins. Elle n’hésite pas, elle ne détourne pas le regard et poursuit sa tâche. Ça l’excite de me voir contracter tout mon corps pendant que je m’évanouis.

Je respire pendant 20 secondes pendant qu’elle sourit. Je lui dis que ce n’est pas fini. Elle le confirme avec son visage de complice, se lève et m’emmène aux toilettes. Elle me dit que ma douche l’a toujours excitée. Elle a imaginé plusieurs fois baiser contre l’écran.

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On allume l’eau et on s’embrasse. Mon érection continue. Même si je me suis enfui, je suis toujours excité. Je veux la voir s’amuser. Je veux qu’elle crie. Je veux qu’elle me cloue les mains dans le dos.

Il la chevauche de nouveau et je la pénètre. Sa chatte est brûlante et aussi trempée que nous sommes sous l’eau. Il commence à se mordre la lèvre, ce qui me rend encore plus fort.
Je le pousse contre le mur, j’aimerais passer à travers. Je commence à le frapper fort comme il commence à gémir dans mon oreille et me demande encore et encore de le baiser plus fort.

Je veux lui en donner plus. En la pénétrant, je vais à la recherche de son anus et je le caresse ; il gémit. Je mets le bout de mon majeur ; un “fuck” me crie dessus et commence à me dire de ne jamais cesser de la baiser.

Je veux réaliser son rêve. Je l’ai laissée partir et je l’ai mise par terre. Elle ne m’a jamais regardé comme ça ; elle en veut plus et elle est en colère parce que je lui en donne.

Je n’ai rien à lui dire. Elle me tient la main et me rapproche d’elle alors qu’elle se retourne et penche ses seins sur l’écran. Je l’attrape avec force, elle crie avec plaisir.

Elle commence à bouger violemment son cul contre ma bite. J’attrape ses seins, je lui mords le cou et elle me cloue les mains au cou pendant qu’elle gémit.

Elle commence à crier qu’elle va s’enfuir. Je l’ai frappée plus fort. Je suis aussi fatigué que je suis excité ; je ne vais pas m’arrêter. Les gémissements sont de plus en plus forts et je ne comprends plus ce qu’elle dit. Les contractions commencent. Sa chatte semble vouloir étrangler ma bite. Je lui attrape le menton pendant que je lui mets mon gros orteil dans la bouche, elle l’attrape en le suçant de façon obscène. Ses dernières contractions commencent les miennes. Ça fait un moment que je n’ai pas couru deux fois de suite. Je remplis son vagin de mon lait.

Elle se retourne, on s’embrasse, on soupire, on sourit et on s’embrasse ; notre café est froid.

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