Cdzinha raquel – contes érotiques

By | 14 de juillet, 2023

Une fois par an, alors que j’étais en vacances scolaires, je recevais une invitation d’une tante, pour rester quelques jours chez elle mais aussi pour son travail et celui de son mari, pour la remplacer dans ses fonctions : apporter à boire et à manger un homme qui est allé chercher et travailler dans sa ferme, eh bien je suis brun avec de grands yeux comme les indiens du Brésil et j’avais de très longs cheveux bouclés, un peu ondulés et je pense que j’en avais un enfant (une fois ils m’ont hué et m’a dit des “choses” quand je suis passé devant un chantier, j’allais à l’école et j’ai baissé la tête, j’ai compris qu’à ses yeux j’étais une femme et j’avais honte et peur!!! ou dormir là, l’homme est sorti très tôt, à 6h du matin il était là et je lui ai fait du café, mais avec cette curiosité et ce jeune âge un

Parfois, je voyais comment elle s’habillait en femme, elle avait beaucoup de choses dans ces placards et ces chambres et elle se promenait dans la maison avec des sandales à talons hauts translucides comme des chaussons et elle ne portait presque que des tongs et même des ongles roses ou rouges. J’avais du vernis sur mes ongles, sauf sur mes mains, alors elle s’est cachée quand j’étais “normale” et seule je me suis promenée et j’ai vu à quel point mes ongles étaient sexy comme ça et avec des sandales comme des sabots ou autre. des objets que je pensais être de la merde et j’ai mis mon cul dessus… même une fois par la fenêtre je me suis accroupi, en appuyant ma queue sur une énorme carotte qui est arrivée dans le panier de choses qu’ils m’avaient laissé, et j’ai regardé l’homme coupant la ronce avec une faux, tout en sueur, avait un peu de poils sur les bras, un petit ventre de bière mais pas grand et haut, vraiment fort, mais cet air de fermier avec la barbe courte de tous les jours mais fort, et la chemise presque ouverte.

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normal. J’imaginais ce que ce serait pour lui de se voir en moi, à quoi ressemblerait sa bite, et pendant que je chevauchais la carotte, je voulais qu’il me bouffe le cul, habillé en femme comme ça… mais bien sûr, seulement dans mon imagination et cachant l’homme qui a pris ma virginité, ça faisait très mal, il y avait beaucoup de sang et j’ai pleuré. Mais je ne raconte pas ce jour-là, j’en raconte un autre, deux jours avant je lui ai donné une queue dans les bois et j’ai évité de lui parler, il lui fait à nouveau confiance mais quand je suis allé lui apporter un panier avec du vin et de la nourriture légère il est allé pisser, mais il n’est pas entré dans la manche devant moi et a laissé cette bite pendre de son pantalon avec la ceinture déboutonnée devant mes yeux : alors raquelinha ?! – il m’appelait raquel quand nous étions seul- je ne suce jamais la bite d’un homme? J’ai pris grand soin de lui dans cet arbre… j’ai déjà mal au visage depuis tant de minutes là-bas… -Il est déjà 5 heures, aujourd’hui j’ai fini le travail, rentrons à la maison

super, je vais te manger là-bas.- et je marchais avec lui, ma petite main coincée dans son énorme main et parfois l’autre analysant mon cul. Quand elle s’est assise dans la cuisine, elle n’avait même pas envie de manger, elle m’a dit ce que j’aimais faire ou envie de faire… et je lui ai avoué que j’aimais m’habiller féminine, et elle a aimé l’idée, trop, trop court, et des sandales, etc, sa bite est vite devenue toute dure et il est venu directement vers moi et il m’a emmené dans une chambre avec un lit en hauteur, il ne m’a pas laissé sur le dos et il m’a baisé le cul en regardant dans mes yeux, mes chevilles sur ses épaules… j’ai beaucoup gémi… je me suis moins lavé le cul, il y a 2 jours il a dit qu’il voulait que ça sente le maître, mais je pense que ça l’a excité en me frottant le cul à l’intérieur avec du lait masculin, je m’y suis tellement habitué que je connaissais déjà les veines de mon

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sa manche pour limer les bords de mon cul… incroyable goudron de laisser un homme me baiser le cul comme ça… et j’ai remarqué que je commençais à avoir un nouveau mais bon sol au fond de moi, dérivé de l’excitation de son travail impitoyablement et il était plein de fierté bâtarde, et il en a parlé… et je suis quand même entré et je lui ai souri… cela l’a rendu fou et fou de luxure… il m’a dit tout de suite de gagner jusqu’à ce qu’il avale sa bite de sperme et puis il m’a appelé cul et poule mouillée et pédé et il aimait me lécher le cul. Je ne l’ai pas vu depuis que je suis revenu sur d’autres vacances, mais cette forêt à la ferme et la maison ont vu les choses qu’elle m’a faites… oh tellement !

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