Préface
L´érotisme exprime la pulsion freinée et maitrisé mais également l´envie de sexualité. Il traverse la fantasie de la comum. L´exposer aux Danger destructifs d´une sexualité direct. La base de la sexualidade culturelle se fond sur les interdits moraux, juridique et magiques qui changentavec et evitent que l´edifice social soit ataqué. Dans la mesure où l´erotisme se constituide distances et de détours, le fetiche est embleme de l´érotomane le corps l´intéresse plus que le corps réel, et la tension sexuelle l´excite plus que la satisfation vers laquelle elle aspire. Le collections de partie de fetichistes, tandis que le débauché opere dans la réalité. Le fetichiste vit dans l´empire du fantasme où il jouit de plus illimitéede l´arte ertique et pornographie se distingue-ils donc par la fictionnelle. La pornographie est elle aussi un produit de la fantasie, Avec une structure differente de celle de la réalité sexuelle. Le fantasme et le rêve sexuel elle est tout aussi irrélle, megalomane, féerique, et esthétique.
Un
Argent , intrigue, d´infidelité tous les ingrediente sont là, c´était comme suivre l´actualité des célèbrités avec l´aspect criminel en bônus d´une riche héritière, un conte séduisante et une énorme fortune. C´était soit un crime odieux, un terrible accident. Ça a fait les gros titres des journaux et un mystère qui laisse tout le monde perplexe. Aujourd´hui entre riches une heritière d´um e richesse chifrand e milliardes et grosses fortunes d´ immobiliaire à Rio de Janeiro. Maristela Moreno Safra vicieuse em sexe et cocaïne s´adonnait entre protitués, voleurs, Elle enchaînait les rencontres sans lendemain. Maristela était toujours attiré par la beauté physique ou la sensualité. C’était donc normal qu’elle ne fasse que des rencontres sans lendemain. Mais derrière cette douceur se cachait une bestialité et une perversion sexuelle. des scénarios de rencontres de plus en plus osés de plus en plus dans une sexualité animale. Sa perversion allait jusqu’à tarder dans les rencontres poussant l’attente de Charline à son paroxysme. Il n’était jamais disponible pour elle. Il jouait de son pouvoir sur Maristela. Elle brûlait d’envie de sexe. Il fut décidé qu’elle pouvait rencontrer d’autres hommes en attendant de le voir. Maristela brûlait d’envie de baiser.
Elle le remarqua dans un groupe. Il était grand noir musclé avec un tee-shirt blanc moulant. Il vint lui parler. Il était en vacances. Il habitait à l’étranger et avait enchaîné les soirées bachata toute la semaine. Elle était conquise. Il l’invita à danser. La connexion était incroyable. Elle aimait se faire guider par ce corps chaud et musclé. Sa danse était tout en douceur. Ils se rapprochèrent. Elle sentit la chaleur envahir son corps. Elle se sentait flotter dans ses bras. Ils se rapprochèrent un peu plus encore. Il commença à lui caresser le dos doucement, le cou puis il descendit ses mains sur ses hanches. Il bandait. Elle mouillait. Ils étaient tous les deux concentrés sur leurs sensations complètement insensibles à ce qui se passaient autour d’eux. Ils continuèrent à danser pendant un long moment. Puis il lui proposa d’aller marcher. Maristela avait envie de le sentir plus intimement elle accepta. Ils marchèrent le long des quais et s’arrêtèrent sous un pont. Il n’y avait pas trop de passage mais un peu quand même. ls s’assirent sur un banc. La blonde était assise sur lui. Ils s’embrassèrent. Maristela passa la main sur son tee-shirt elle titilla ses tétons il aimait ça il gémit. Il lui caressait les seins. Ses tétons durcissaient. Elle descendit ses mains sur son pantalon. Elle descendit sa braguette et mis la main dans son caleçon. Sa bite était déjà bien dure. Elle était longue et fine. Il écarta sa culotte et joua avec ses doigts sur son clitoris. Elle était trempée. Elle est folle pour une bite noir. . Il lui attrapa le visage et fit des va-et-vient dans sa bouche qui lui était totalement offerte. Il allait de plus en plus au fond. Il gémissait. Elle gémissait. Il alla de plus en plus vite de plus fort et gicla dans sa bouche. Elle gicla sur ses doigts. Elle avala le sperme et embrassa sa bite. Elle le regarda les yeux brillants. Il lui caressa les cheveux. Ils s’embrassèrent à nouveau. Elle sentait son départ arrivé. Il regarda sa montre. C’était la fin de ce moment hors du temps. Il devait partir et prendre un avion. Aucun numéro ne fut échangé.
Ils sont au mois de février, le printemps commence à pointer le bout de son nez. Le soleil revient. Il fait encore froid mais cela reste agréable de se promener. Maristela se réveilla donc pleine d’énergie et heureuse de cette nouvelle journée. Maristela était ronde et voluptueuse. Elle avait un joli visage, des yeux bleus, des cheveux blonds frisés et un joli sourire. Elle gardait une belle poitrine. Elle avait quelques kilos à perdre mais plaisait toujours aux hommes.
Elle s’aperçut qu’un homme était en train de regarder. Elle baissa les yeux et vit qu’il bandait. Il était noir, grand, mince. Quand il vit son regard, il fut gêné. Elle lui répondit par un clin d’œil et lui fit un joli sourire. Il descendit à la prochaine station. Elle le suivit. Il marchait vite. Elle le rattrapa. A sa hauteur, elle l’alpaga et lui demanda s’il serait ok pour prendre un verre. beaucoup de Elle vit son pantalon se gonfler. Il répondit que oui mais qu’il n’avait pas temps il devait aller travailler. Elle lui attrapa la main. Sa main était chaude et douce. Ils sortirent du métro. Elle monta l’escalier devant lui faisant exprès de bien lui montrer son cul et ses bas. Elle lui reprit la main puis attrapa son visage. Elle l’embrassa goulument. Au-delà du jeu, dont Maristela était assez consciente avant même les premiers baisers, elles ont su profiter agréablement l’une de l’autre.
– Tu m’offres des sensations troublantes et rassurantes. Ta présence me fait du bien et tes caresses sont agréables
– Oui, absolument. Et tu sais quoi? Je suis un type simple sans envies extravagantes.
Ils reprirent leur marche. Elle scrutait les environs. Elle vit un bar. Ils entrèrent et s’installèrent à une table. Elle commença à lui caresser les genoux puis les cuisses. Elle s’aventura sur son sexe. Sa bite était bien dure. Elle lui chuchota de la rejoindre aux toilettes dans une minute. Il la rejoignit. Elle ferma la porte à clé. Elle recommença à l’embrasser avec avidité. Il chercha sa chatte et vit qu’elle était déjà toute trempée. Il la retourna. Elle s’agrippa aux lavabos. Il lui enfonça profondément sa bite bien dure dans sa chatte. Ses mouvements étaient de plus en plus fort et de plus en plus vite. Sa bite était grosse et longue. Elle adorait qu’il la baise. Elle étouffait ses cris de plaisir. Il continuait à s’activer dans sa chatte qui coulait et giclait sur lui. Il sortit sa bite lui attrapa vigoureusement le cul et entra d’un coup sec. Elle gémit à cette attaque. Il fit des va-et-vient énergiques tout en lui attrapant fermement les hanches. Il la prenait comme une chienne. Elle aimait ça et étouffait ses cris de plaisir. Puis il allait en elle plus le plaisir montait. Il continuait de plus en plus vite de plus en plus fort. Elle en demandait toujours plus toujours plus loin. On frappa à la porte.
Il se retint puis s’activa de plus en plus loin de plus en plus vite. Il la retourna sans ménagement et lui envoya une giclée de son sperme au visage. Il la mit à quatre pattes pour qu’elle lui lèche et essuie sa bite.
Sa chatte était trempée. Elle avait coulé le long de ses jambes. Elle s’essuya. Se rhabilla. Il rentra sa bite dans son pantalon. Il lui demanda ses bas comme souvenirs.
Son père un entreprenneur tape à oeil qui a tout ou presque Maristela puis d´une semaine absente était de retourne. C´était um endroit superbe sa plus grande maison, mais tout ne suffit pas. Sa mère disait tout le temps. Sa mère adorait les femmes une mère lesbo. Son père adorait faire sexe avec jeunes hommes. Il y avait de l´argent, pouvoir , des bijoux, de la drogue et sexe. Tout ça dans la même affaire. Ils étaient connus comme le couple diabolique.
12 de janvier de 2010
– Alô ! Ici police.
– Il y a un cadavre.
– La personne a quel âge?
– Entre 30 et 40ans. D´aacord.
– Des signes que indiqueraient um crime?
– Non… Rien de tout.
– Les securs arrivent ne laissez personnes entrer.
– Entendu.
La police arrive en quelques minutes et pénètre dans la chambre 330. Il y a un corps d´un homme de la race blanche. À première vie le cliente est plutôt du genre à se payer un palace plutôt q´un hotel bon marché. On a remarqué qu´il était très bien habillé, il portait une chemise hawaianne en soi un pot pantalons et des chaussures haute de gamme et la police confirme sa morte. On a une bouille et découvre un seule douille, à Quelques centimetres du corps. La personne était allongé face contre terre et avait des mains sous son corps. Alors on ne pouvait pas dire à ce moment là si c´était un suicide. S´ils étaient tombés sur la Route, élevé moin il retourne
Le corps avec précaution à étonné lei l n´y avait pas d´armes ce qui les a permis de deduire immédiatement qui s´agit d´un homicide, mais les blessures de la victime rang des enquêteurs perplexes. Il avait um blessure sur le côté de la tête à l´évidence d´un coup de crosse, mais près de l´oreille de la victime, il semble aussi ily avoir une plaie causée par une balle.
Il a immédiatement pensé qu´il s´agissait d´un tir acidentel, la victime presente également une blessure aparente par balle au niveau de la poitrine mais bizarrement aucune trca de sortie de balle, avec d´autres enquêteurs et technichiens de police cientifique. La police fouille tout ela pièce la recherche d´un impact ou d´um fragmente de ballequi aurait pu être retire mais rien n´a été trouvé. Il s´avère que les blessures à l´oreille
Et à la poitrine de la victime. Resulte de la même balle. Le tireur avait dû appuyer sur la gâchete par reflexe la balle était sortie avait pris cette trajectoire plongeant vers la poitrine. Le cambriolage est donc immédiatement apparu comme um mobile evidente mais cette théorie ne paraît pas logique.
Il avait un énorme bague magnifique à son doigt on a donc pensé que si ça avait été un vol classique le malfaiter aurait voulu prendre ce bijou, et dans as poche un portefeuille rempli de cartes de credit et de centaines de dollars. L´un des enquêteurs a retire le portefeuille, on a trouvé as carte d´identité qui indique João Moreno Safra ce qu´on n´avait pas remarqué au départ ce moment là ça se clarifiée et on la fait raprochement.
Tout le monde savait qu´il était cet personne, ça alors ce type est connu, quelq´un a remarqué la photo et em regardant le no mil a dit qu´il pensait que c´est qui il était même. Des publicites il est proprietaire de banque et publicitaire de s lucrative Entreprise.
C´est un simple cadavre dans um chambre d´hôtel. C´est vite devenu um affaire des célébritrés qui avait éte abattu dans sa chambre et à partir de là le dossiê n´a cesse de prendre de l´ampleur.Cette enquete en
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Ligne menée on a su tout de suite que ce serait une grosse affaire qui serait fortemente médiatisé. Ses pairs personne ne veut quitter ce monde face contre terre sur la moquette de la motel. Mais c´est une Femme particulièrement pathétique pour un millionnaire. Les policiers ont deux question sans reponses. Pourquoi João avait descendu à cette hotel et surtout comme la tenture. Le personnel de l´hôtel nous a fourni toute les informations la liste des residentes l´heure à laquelle porte avait été ouverte ou fermé, ce genre d´elements.Il avait reglé as chambre avec son carte de credit, quand son corps est découvert le matin suivant par une Femme de chambre, la porte est ouverte. Le mécanisme de verouillage de la porte était engage empechant la porte de se fermer complètement.
Pour les enquêteurs, la porte ouverte est un índice importante la porte laissée entrouverte indique que quelqu´un avait voulu partir précipitament sans trop se poser de questions sue la façon de quitter les lieu. Après avoir inspecté chaque centimètre carré de la chambre la police nen sait que penser. Je n´ai pas vu de bagages dans le parages pas desac rien de ce qu´on verrait habituelement dans la chambre de quelqu´un aucun Moyen de retrouver trace du tueur. Une affaire criminelle à dormir debout.L´autopsie confirme qu´ila été tué d´une seule bale qui a pris um Chemin que est inhabituel.
Maristela regarda sa montre pour la douzième fois en une demi-heure. Il savait que le moment de la journée qu’il attendait tant approchait et les dernières minutes lui paraissaient des heures. L’attente était d’autant plus insupportable que la chaleur était étouffante en ce mois. Le front de Maristela était constellé de grosses gouttes de sueur qui dévalaient son visage Maristela de retour à sa residence passait tout le jour avec as Porsche rouge devant le parking Tout aurait pu durer ad vitam æternam si le démon du désir n’avait pas lentement répandu son goutte à goutte de frustration et de soif de sensualité. Cela avait commencé par des œillades discrètes sur certain garde black un jeune de 26 ans sympatique. De fil en aiguille, la femme avec un « F » en elle avait émergé et avec elle son envie de séduire. Jusqu’à ce que se pose la question de la rencontre.
– Attend, je vais te baiser profondément, Attends ma belle petite salope, je vais te donner ce que tu mérites. dit-lui
Là, c’est un peu le choc, Henri est torse nu, retournant un carreau de terre pour l’aérer, c’est un beau spectacle de le voir, il est bien musclé, Froidement, il la fixe. Elle baisse la tête.
- Tu mets ta robe rouge boutonnée sur devant!
– Oui, maître, j’y vais tout de suite.
– Et ne me fais pas trop attendre! Que c’est bon de pouvoir peloter, lécher et sucer une telle poitrine
- Tu vas rester comme ça, Béné?
- Allez, sors ton engin, ton zob, ta bite !
– Tu… tu es sûre ?
- Je vois que tu bandes à mort et que t’as envie d’évacuer ton trop-plein. Tu peux faire sur me nichons, si ça te dit…
- Et pourquoi pas, Je parie que ça vous plaît bien, les hommes.
Cette dernière aime sentir que son homme la désire et que son érection est puissante, fière, prête à donner tout ce qu’elle a. Maristela ondule du bassin et des fesses pour jouer avec le pénis de Bene. Ça lui plaît d’entamer une masturbation sur sa queue. Elle le veut, elle a envie de lui et sentir qu’elle pourrait le faire jouir juste comme cela lui donne un sentiment de pouvoir. Elle sent le sperme de Bene la remplir.
- Retire-toi et viens nettoyer mon sexe avec ta bouche.
- Je ne sais pas… je vais être discrète.
On dirait que c’est une belle et ronde brune. Elle porte une poitrine lourde et blanche et une paire de fesses très généreuses, que ses petites culottes ont en général le plus grand mal à contenir. C’est un spectacle très appétissant pour qui apprécie la bonne chair. Maristela a toujours été extrêmement vorace sur le plan sexuel. Elle ne s’en est jamais cachée et je n’ai jamais eu à m’en plaindre, étant moi-même très vicieux de nature.
Maristela pense au sexe quasiment en permanence. À ce niveau-là, on pourrait presque dire que c’est une maladie. En tout cas, c’est une obsession. Savoir qu’elle est incapable de résister à l’attraction d’une bite m’a toujours tourné les sangs. Dans sa maison elle sussurra à un serveur homo qu´elle avai passé la main sur la bosse du chauffeur de son père et…
. – Maristela s’approcha de son oreille et me confia qu’elle venait de palper la plus belle bite qu’elle n’avait jamais vue.
-Me dit une chose. Mon père t´a baisé ou non…
– En vrai… Plusieurs de fois.
– Je peux jouer um peu avec ce monstre?- Tu vas la sucer juqu´elle devient bien dure comme fer même.
– Est-ce que tu l’as sucé un peu?
- Un tout petit peu. J’ai pas pu résister.
- Tu vas me faire jouir si tu continues comme ça.
– Il veut me baiser, mais il va enfoncer detruir mon petit trou.
– Je vais qu´il me penetre jusque aux couilles dans mon cul.
Maristela imagine les sentiments contradictoires qui à ce moment traversent l’esprit du chauffeur. L’un et l’autre, ils réagissent bien ; ils sont dans une garage pour prendre du plaisir, le partager. Rien n’est tabou car nous sommes ensemble.
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Tous les deux vont à la garage trouver le chauffeur avec bite de jument. Maristela palpe la bosse qui gonfle le pantalon du black. Elle fait délicatement descendre sa braguette. Elle glisse une main dedans et en extrait une bite qu´il trouve absolument extraordinaire.
- Vas-y, déverse ton foutre sur nous.
- Moi aussi, je crois que je suis en train de faire de splendides découvertes.
- Je t’invite finir la soirée avec moi et le serveur?
- Non…Je rêve enculer le serveur il y a beaucoup de temps. Mais si tu veux, je peux te soulager momentanément…
– Tu vas baiser tous les deux..
– Ce n’est pas possible, ce ne peut être que lui…
- Quelle vigueur, Chéri, j’ai hâte de sentir la puissance de ton membre si viril.
- Tu aimes ça, hein, salope? Tu ne t’es jamais fait aussi bien ramoner qu’avec ma grosse queue bien raide hein? je t’encule ma belle salope. Tu cries? Oui ça fait un peu mal, c’est normal j’en ai une très grosse. Mais tu vas voir après, ça va te plaire, tu vas jouir très fort.
- Un corps comme le tien mérite plus et mieux. Ton cul réclame quelque chose de plus vigoureux, dit le serveur.
Une onde de jalousie lui parcourt l’échine. Comment une femme peut-elle décemment résister à pareil instrument? Quelle chance de rivaliser peut bien avoir un petit mec comme le serveur? je ne peux que comprendre sa patronne. Elle semble totalement ravie de ce qu’elle a entre les mains. Et elle n’en a pas trop de deux pour s’occuper d’un truc asi gros. elle est comme hypnotisée par son gros joujou. Elle le branle dans les grandes largeurs, elle le décalotte, le recalotte, refait jaillir le gland, lui soupèse les couilles avec émerveillement. Elle se penche sur lui pour le gober. Elle passe l’énorme gland sous son nez pour se régaler de cette odeur forte de mâle en rut. Elle se frotte les lèvres avec. Elle bave sur sa tige en se prodiguant une caresse déjà fort crémeuse sur la bouche, qu’elle finit par ouvrir pour y enfoncer une très belle portion de bite. Elle est heureuse et ça se voit.
– Tu veux que je te suces? Tu veux m´enculer aussi?
. Pourquoi pas.
Manuel aussi semble ravi du traitement que lui inflige as patronne. Il appuie sur sa tête pour la forcer à s’enfoncer le plus de chibre possible au fond de la gorge. Plus elle s’étouffe, plus grogne de délice et monte en régime. Elle prend un sacré plaisir à branler cette queue de cheval qu’elle admire, comme hallucinée.
– Ahhhhhhh, elle est bonne ta bouche, ouais, bouffe-moi la bite, oui, comme ça!.” Hummm, ahh, ouais, encore! dis-moi, Tu avales?
– Mmmmm, oui!
– Super, ça va être bon, alors déjà que j’adore déjà ta bouche, oh, ouuuh, putain, tu suces trop bien!”.
Elle l’embouche à nouveau, reste plantée dessus à s’en faire sortir les yeux de la tête, puis débouche en soufflant, elle suce et bave, elle grognasse et gémit en s’excitant, elle se tapote les joues et les lèvres avec et sort la langue, et elle la branle encore en pétrissant la remarquable masse de couilles qui déborde de la braguette d’une façon très indécente.
Manuel l’encourage à poursuivre son œuvre et les deux petits saligauds l’ignorent royalement.
Le serveur homo finit par intervenir en suggérant que Maristela se dévêtisse un peu de façon à les faire admirer sa belle paire de fesses.
– Humm, t’aimes ça, ça se voit, t’es vraiment un super coup, je te baise quand tu veux!” j’ai eu envie de l’enculer à fond.
Maristela se lève et il remarque qu’elle a taché sa robe. Cochonne. Elle la fait tomber. Manuel peut alors profiter du spectacle fascinant qu’est le cul de ma femme. Il est bien ébahi le Manuel, assis sur le canapé. C’est ce qu’on appelle une croupe. Il ouvre de grands yeux devant ce gros fessier rebondi et cette adorable petite culotte noire avalée par les deux globes potelés. Il demande à Maristela si elle veut bien approcher son cul du visage de Manuel afin que ce dernier puisse commencer à lui manger la culotte. Maristela adore qu’on lui mange la culotte. Elle obéit et se penche un peu vers l’avant de façon que Manuel n’ait plus qu’à plaquer ses grosses paluches sur ses fesses pour les écarter.
- La vache! Elle est trempée ta bonne femme!
– C’est pas un problème!
– Tu avales le foutre?
– J’aime oui!
– Humm, c’est bon à savoir, mais j’ai envie de t’enculer, d’abord, donc, on va se calmer.
Manuel écarte la culotte de Maristela et commence à barboter du groin dans les jus qui souillent son gros abricot visqueux. La blonde est ravie de se faire racler la moule par cette langue quasi inconnue et c’est maintenant elle qui s’écarte les fesses et qui plaque son cul sur le visage de Manuel. Goulûment, il lui nettoie la vulve en prenant soin de remonter à chaque lapée jusqu’à son anus dilaté. Sylviane grogne de plaisir. Elle adore se faire goinfrer la raie de cette façon. Elle peut même devenir extrêmement sale quand elle s’y met.
– C´’est bon continue,c’est si bom.
Sur ses gros plans, on voit parfaitement la grosse langue fouisseuse de Manuel s’agiter dans l’anus gras de sa patronne qui s’écarte les fesses au maximum pour mieux profiter de l’intrusion. Elle se pâme et se liquéfie en grognant. Il interviens à nouveau. Il est temps qu’elle prenne sa ration de bite. Je suis très pressé de voir ça avant d’exploser dans son slip. Il bande très dur. Il propose qu’on se déplace vers les toalettes
Voir le gros cul de sa Patronesse si tendu vers l’arrière et déborder de partout sur ce tabouret est un spectacle irrésistible. Une invitation à la débauche la plus totale. C’est un peu comme si sa femme avait disparu et qu’il ne restait plus qu’une énorme paire de fesses à fourrer. Elle a gardé sa culotte détrempée et il a très envie d’aller plonger la gueule entre ses fesses pour se régaler dans son jus, mais il laisse sa part.
– Il va te baiser, ma chérie. Tu vas bien t’écarter les fesses et il va te rentrer son gros machin dans la chatte, ok? Dit le serveur.
Les lèvres forment un accent circonflexe impeccable autour du mandrin, a chaque poussée il s’enfonce un peu plus loin, la fille gémie de crainte et de plaisir; cinq minutes après les couilles énormes touchent le petit cul délicat , elle hurle sa jouissance , quand le tonton ne lui fait pas de cadeaux et lui laboure le ventre ,des giclées de cyprine fusent du con étroit pour venir couler sur le ventre d´elle; Cet homme est impressionnant de puissance, sans précautions au départ il lui exploserait le ventre et sait que c’est un orgasme à cause de sa puissance, mais c’est nouveau et tellement fort que elle le dit a son amant.
– Merci beaucoup, tu m’as bien enculé, j’ai bien joui!
– Ahhhhhhhhhh, je jouis, ahhhhhhhhhh!.
– Continue! je vais encore jouir, vides-toi! Ahhhhhhhhhhh”.
Le serveur la sent pousser pour mieux dilater son petit cul, et , d’ un coup , la bouteille s’ enfonce lentement dans son fondement …elle est prête au sacrifice. il retire la bouteille encore plantée entre ses fesses, et sans attendre, pointe le gland dévastateur sur les chairs avant qu’elles ne se rétractent, ce champignon de chair a l’air plus imposant que la bouteille, mais laminé par l’anneau boursouflé il s’affine, et lentement se fait absorber, Le chauffeur pointe quand même son gland, et il pousse, les chairs cèdent doucement, il reprend sa place au fond de la matrice éclatée sur lui dans un cri inhumain, Il n’en tient pas compte et pousse lui aussi, je le sens progresser sur sa bitte, lui l’écrasant comme un rouleau compresseur, a chaque passage sur son gland sa jouissance est de plus en plus proche, il lui connait, il ne va pas résister longtemps a cette torture! Il va jouir. Son sexe entre par à-coups, puis d’un coup son gland me pénètre, et coulisse profondément en lui jusqu’aux couilles du chauffeur. Il râle d’extase, puis l’homme se déchaine de plus en plus en l’écrasant contre le mur. Il est plié en deux avec les épaules proches de ses jambes avec l’anus défoncé par sa queue au gros gland. Il se cramponne, car il veut au moins sentir les grosses couilles du baiseur sur les siennes ! Là il saurait que la petite a réalisé son rêve: se prendre entièrement la bitte fabuleuse!, en tout cas elle a l’air d apprécier si j’en juge par son souffle façon ‘ accouchement ‘ sur sa figure, pas de cris, mais une satisfaction
intérieure il là regarde en se masturbant elle aussi et qui caresse, rêveuse, son petit trou endolorie Il n’en peux vraiment plus, je se laisse aller, et balance ses jets de foutre dans le cul devenu vraiment étroit pour une bite de jument. Une sensation nouvelle me gagne, ses assauts répétés lui procurent un vrai plaisir. Le serveur est pris de spasmes dans le ventre et la colonne vertébrale, la sensation se diffuse dans tout mon corps en partant de son anus que l’homme défonce sans
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discontinuer. Puis la sensation me monte au cerveau, et lui submerge en lui faisant trembler les jambes. Il jouit, tu jouis, elle jouit!
Fin
Ivan ribeiro Lagos