Les pensées, les aventures et les fantasmes d’un voyeur marié avec une belle Femme qui souhaite partager sa passion pour les femmes et leur intimité. Au travers d’histoires vécues, cet homme nous fait découvrir un monde méconnu : celui du voyeurisme assumé. Ce premier texte est l’occasion de découvrir les premières expériences et sensations d’un voyeur . Un fantasme vivant, comme si ses rêves de voyeur étaient devenus réalité. Dans cet épisode, il s’agit de reunir meurtres, fetichisme, trafic de drogur et assassinâts. Un soir, elle décide de prendre les choses en main pour pimenter sa vie de couple. Elle ne sait plus si elle se caresse pour réveiller la libido de son mari ou pour son propre plaisir. Ses pensées deviennent confuses. Elle soulève son haut pour libérer sa poitrine opulente qui retombe lourdement. Ses tétons se tendent et sont terriblement sensibles.
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C´est plutôt un beau gosse, j´aime bien les chaînes en or, les beaux habits, ce temps cet jeune homme qui est riche qui est beau, qui travaillent, qui flambent parfois, il est vrai que Pierre, pas que des amis quand j´ai des cours d´eau de nos duvets se voit le visage tout plein de sens et s´entend as mère crier. Elle était pleine de sens.
On pense rapidement à des balles, ils ont pénétré dans la tête de Pierre convoi de projectiles à l´intérieur de la boîte crânienne. Ils evoquent une piste possible, une piste mafieuse, il a été execute froidement pendant son sommeil et puis le reste la piste de la Femme, si quelqu´un était venu au troisième étage vers 3 heures du matin pour elle c´est clairement des talons de femmes qui marchent sur le sur planche de pierre qui a déjà accroché avec elleà plusiers reprises. On ignorait encore plus que dans ce beaux milieu des chevaux dans ce milieu de notables on pouvait trouver des tueurs à gages le prix pour la mort ces cinquante mille francs qui a vraiment tiré qui a mis le duvet quoi cette nuit-là 10 de janvier 1998 dans um Quartier huppé de Búzios il est 3h du matin, Pierre um riche homme d´affaires dort à poings fermés dans son duplex soudain au coeur de la nuit une porte sourd des semelle crise sur le parquet et une main sur une arme, une ombre se rapproche du lit et braquent le canon sur la tête de pierre. Deux coups de feu claquent dans le silence de la nuit puis tout redevient calme à travers la fenêtre de la chambre les lumières de l´aube où commence à poindre le
Téléphone se met à sonner. Pierre ne responde plus.
Au même temps à l´autre bout de la ville josephine se leve à 70 ans est père de famille coûte um retraite confortable et bien mérité d´origine italienne ce qui compte le plus pour elle ce sont ses deux enfants et notamment les néo Pierre. Il habite à dix minute de là et chaque jour elle exige qu´ils passent l´embrasser avant de partir au travail. Ils ont pour habitude de se voir sauf erreur tout le matin ils prennent et il est jamais ensemble il faut dire.
Une autre nuit d´enfer à Búzios… Et une autre scène de crime, des cadavres, des jeunes gangster abbatus par jeunes flics après un braquage dans une fusillade qui a réveillé toute voisinage.
– Je vois ces incidentes comme une chose ordinaire.
Pourtant cette scène de crime n´est pas si ordinaire j´apprends que deux autres gangster ont été emmené à l´hôpital et sont morts avant d´y arriver et cem metres plus loin il y a le cadavre du 5e gangster de la bande.
Ça y est Búzios ao fond d´Océan atlantique une bien belle ville vu d´ici, um paradis au ciel ouvert au bord d´une vaste baie. Beaucoup de plages et de soleil toute l´année. Une Destination de rêve. Une ville avec mauvaise reputation. Crimes ,drogue, sexe allaient produzir des crimes e tous ses états principalement les ravages des drogue, les talagem de la prostitution où il règne toujours une chaleur accablante…
– J’adore voir et sentir une grosse queue bien dure devant moi, dans ma main, dans ma bouche, dans tous mes trous. Je pense qu’on peut dire que je suis une grosse pute à bites, une bonne boîte à foutre. Parce qu’évidemment, j’adore le sperme également. Mon rêve serait de remplir une baignoire de foutre et de m’y baigner, ou de me faire arroser de bon jus de couilles par une centaine de mecs.
Un jour elle entend son mari interessée.
– Ton fantasme c’est d’être cocu, et bien, je suis d’accord.
– C’est uniquement pour me faire plaisir?
– Non, ça pourra être le mien aussi, j’ai envie de te voir être pénétré.
Le fantasme récurrent de son mari: être appelé cocu et l’être aussi, fantasme qu´il partageait de plus en plus et qu´il souhaitait réaliser au plus tôt. En effet, c’est d’une véritable envie tant intellectuelle que physique dont il parle. Toutes ces années, avant son mariage avaient couvert le feu qui sommeillait en lui. La version officielle était que son mari allait être pénétré par un homme, elle, son épouse étant spectatrice. Mais elle rêvait de tout autre chose. Il rêvait être enculé par une grosse bite.
– Oui je veux vraiment être cocu pour la première fois ce soir et je ne compte pas t’arrêter en cours de route.
Sonia se maquille soigneusement et revêt une jupe bleu marine, large et longue. Ses cheveux sont soigneusement coiffés et attachés en queue de cheval.
- Bonjour, quelle surprise, j’espère qu’il n’y a pas de problème avec la voiture ? demande-t-elle en plaisantant.
- Heu, non m’dame, pas du tout, répond le Noir.
Elle choisit également un chemisier de soie fine, bleu clair, une ceinture de cuir rouge et une paire de sandales noires, rehaussées. Rouge à lèvres rouge foncé. Elle se regarde dans la glace et vérifie que plus aucune trace des larmes qui ont perlé sur ses joues la veille au soir ne subsiste. un regard coquin, avec un sourire en coin, Il sent qu’elle veut lui dire quelque chose.
Il décide de faire de l’essence et d’acheter un sandwich, il a eu la flemme de s’en préparer. Il repère la station-service et sa boutique, fait le plein, et finit par se poser, une toute petite coccinelle parmi les 38 tonnes garés en épi. Il sort se dégourdir les jambes, un jambon-beurre et un jus d’ananas en guise de butin. C’est alors qu’il a l’impression d’avoir une hallucination : à vingt mètres de lui, une superbe nana en talons hauts et petite robe noire a les seins à moitié découverts, et sa robe remonte à la naissance de ses cuisses. Elle se tient un peu penchée en arrière sur son siège, la portière ouverte, face à lui. C’est l’élément déclencheur, celui qui fait que, de fil en aiguille, les petites culottes volent, les muqueuses sont tripotées et les fluides corporels s’échangent. La patronne avait a ouvert un monde de charme de volupté et de luxure qu’ils ne croyait pas forcement apprécié.
La Mercedes Benz avalait le bitume depuis dix kilomètres, mais ils n’avaient croisé personne sur l’autoroute. Il est presque 18 heures, le soleil a disparu depuis plusieurs minutes derrière la colline qui fait face à la maison, Elle dévoile sans le vouloir sa poitrine bien mise en valeur par un soutien-gorge à balconnet noir. Le chauffeur black ne dit rien, mais apprécie la vue. Machinalement, la belle bourgeoise passe ses mains sur le devant de la robe comme pour la lisser et voit que ses genoux sont bien dégagés et que l’on découvre le début de ses cuisses. C’est une robe d’été qu’elle avait achetée pour aller à la plage, son éducation stricte la bloquant pour se promener en paréo ou en jupette. Elle tire lentement sur le tissu vers le haut. La vision de ses cuisses fuselées le trouble. Elle imagine la caresse du regard des hommes remontant le long de ses jambes pour se perdre sous sa robe. Un frisson lui traverse le ventre. Elle ondule lascivement ou tortille ostensiblement des fesses. Elle divague être ses pensées érotiques.
– J’ai envie d’un mec… Juste d’un mec, n’importe lequel… Enfin presque… Et celui-là, en face, lui chauffe depuis un moment, l’air de rien. Black, la quarantaine, assez mince, ou plutôt pas trop enveloppé… Il a de belles mains, des doigts longs. Elle repense aux bêtises du genre: grandes mains, grosse queue… En fait, elle s’en fiche un peu, que sa queue soit grosse ou pas. Pas ridicule quand même! Ce que je veux, c’est qu’elle soit raide, qu’elle bande pour elle, qu´elle puisse en jouir.
Elle exercait une profession d’élite, parlait 5 langues était très cultivée. elle était la preuve que plaisir et libertinage pouvait rimer avec culture et intelligence. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n’avait tentées et cela lui a plu… énormément. Elle aimait tromper son mari.
– J’ai besoin de quelque chose en moi ! Mais je n’ai rien sous la main.
– Et son mari?
Son mari était du genre travailleur, probablement responsable d’une grosse société, et consacrait tout son temps à son boulot et à gagner de l’argent sans vraiment se soucier de sa femme qu’il laissait seule dans cette grande maison. Elle regarde le Noir avec un air implorant la pitié et une moue identique à celle que pourrait afficher un enfant auquel on annonce que le jouet qu’il convoite ne lui sera pas offert tout de suite.
– Je préfère te le dire tout de suite, João-Paulo est un voyeur, cocu concentant et pervers.
Sonia avait les jambes croisées. Elle essaya de se donner une certaine contenance en se passant la main dans les cheveux. Elle était belle, désirable et elle le savait. Sa robe courte remontait naturellement sur ses hanches. Elle montrait ses seins, ses cuisses étaient largement ouvertes. Avec ses bas et ses escarpins elle était remarquablement excitante. Elle se branlait maintenant profondément sans retenue sous les yeux de son chauffeur. Elle est en manque de sexe, presque deux semaines qu’ils n’ont pas fait l’amour.
– Tu as l’air d’aimer les femmes.
- Eh bien, oui, comme tout le monde.
- J’adore les jolies jambes, dit-le chauffeur d’une voix un peu rauque.
Roberto le chauffeur noir dégrafa son pantalon et sortit un sexe épais en totale érection que Sonia prit en bouche immédiatement. Il était évident qu’elle avait perdu tout contrôle.. Sonia suçait avidement la verge de Marcos.
Le black n’avait jamais vu une femme jouir comme cela auparavant. Elle ne se contrôlait plus. Elle léchait comme une folle les testicules du Noir.
- Tu veux que je te baise, hein ma patronne!
– Oui j’ai envie. Oui, j’ai trop envie de toi!
– C’est bon, hein, ma petite bourgeoise?
Le chauffeur présente sa grosse queue à l’entrée du sexe. Une fois la queue entrée de toute sa longueur dans les entrailles de Sonia, le caporal entame un mouvement de reins souple sur un rythme régulier afin de faire coulisser sa bite dans le fourreau offert. Incapable de maîtriser son désir montant, accélère bientôt ses coups de reins.
- Ohhh! Doucement! Doucement! implore Sonia d’une voix tremblante de petite fille.
La femme sent le souffle brûlant du mâle sur sa nuque. le visage déformé par une grimace mais sans pouvoir filtrer un cri sec qui se poursuit par une longue plainte. Sonia croit sentir les jets de liquide chaud qui lui donnent l’impression d’envahir son ventre, mais qui remplissent la protection qui entoure le sexe de Roberto. La grosse bite est lustrée par son vagin qui ne cesse de sécréter une cyprine translucide. Elle monte et se laisse tomber assise sur ma queue…elle s’empale litteralement dessus. Des pensées et mots plus obscènes lui viennent mais elle ne les dit tout haut.La chaleur se diffuse et procure un plaisir dont la jeune femme se délecte. Sonia ferme les yeux, un sourire de plaisir aux lèvres, Elle est en train de goûter à un plaisir que certaines convenances pourraient réprouver mais qui pourtant lui fait traverser un univers paradisiaque. Retrouvant ses esprits, Sonia le repousse doucement et remet silencieusement de l’ordre dans sa tênue. Elle l’attire contre lui, l’embrasse d’abord doucement du bout des lèvres, puis à pleine bouche et à pleine langue.
Elle se regarde dans la glace et vérifie que plus aucune trace des larmes qui ont perlé sur ses goles la veille au soir ne subsiste. L’effet de surprise passé, elle parvient à se reprendre et affiche un sourire.
Ils avaient commencé dans le libertinage il y a de cela cinq ans. Sa femme, Sonia, est une belle blonde de 1,70 m, à la poitrine provocante et d’une fermeté exceptionnelle. Ils avaient tous les deux la quarantaine. Ses premières expériences eurent lieu en club et, rapidement, il constatait qu’elle aimait ces regards des hommes posés sur elle.
Sonia eu aussitôt une trique d’enfer et ne put s’empêcher de continuer à jouer les voyeurs. La bourgeoise avait un air très distinguée, très XVIème. Elle était blonde, les lèvres mince, les yeux clairs. Elle fixa autour de sa taille une ceinture porte-jarretelles. Elle s’assit sur son lit et commença à enfiler avec grâce une paire de bas qu’elle fixa au porte-jarretelles.
– J ai prévenu mon mari que samedi soir, j invitais le chauffeur Roberto à la maison, à l´ enculer devant moi. J’allais signaler ma présence quand je réalisais qu’elle était à moitié nu. Elle déambulait dans sa chambre uniquement vêtu d’un soutien-gorge qui contenait avec peine une volumineuse poitrine mon string moulait mes fesses de façon indécente. J’eu aussitôt une trique d´enfer.
– Alors mon chéri, dit-elle, toujours pas décidé. Tu tiens vraiment à me faire prendre par Roberto notre chauffeur, dit-jelle, tu veux que je te devienne pédé.
– Pour ma part, je suis bi, je chasse l’homme où la femme, peu importe la prise, pourvu nous passions un bon moment ensemble.
– C’est le plus beau cadeau que tu puisse me faire. Une femme aime voir son mari soumis à son amant. Je t’en prie Roberto tu vas me faire mal, ta queue est trop grosse.
– Je te promet d’y aller doucement, répond-il.
– Je sens la queue de Ralhid qui commence à me pénétrer. Mon petit trou commence à se dilater.
– Aie, aie hiaou, arrête, tu me fais mal, tu vas me déchirer.
– Je serre les dents. Je suis en larmes. Inexorablement, la queue de Ralhid se met en place dans mon ventre.
– Malgré mes sanglots, ma femme assiste à la scène sans lever le petit doigt. Elle joui de me voir soumis à son amant.
Roberto ordonna à son mari de lui nettoyer avec sa langue, ce qu’il fit sans répliquer. Entre les mains de son patron, il lui avait donné le plaisir quil voulait. Le cocu s’agenouille pour le sucer généreusement. Il lui vide les couilles , il lui fait une magnifique ejaculation faciale comme il les aime . Sonia son épouse croise et décroise en souriant.
– Voilà , Sonia tu es un mari cocu à présent.
– Et pédé avec son baiser presente.
Son mari lui prend tendrement dans ses bras , on échange sur ses émotions. Il est fier de son épouse. Il lui confie son nouveau fantasme ….. Sonia vous l’ai dit , il n’est jamais à court d idée ! Elle s’endors pour une longue sieste , elle se réveille c’était un rêve , un doux rêve
Fin
Ivan Ribeiro Lagos
Teresina