Margot Fontana était protegée par énormes portail de fer forgé, entouré de somptueuse oeuvres d´arte, mobilier de luxe et de lustres de cristal. Intrigue et infidélité tous les ingredientes sont là, c´était comme suivre l´actualité des célébrités avec l´aspects criminal en bonus d´une riche heritière. Un roman séduisant et une énorme fortune Mais um crime odieux se fait arriver soit un temble accident çafait les gros titres des journaux est un mystère que laisse tout le monde perplexe. On aurait dit de le scenàrio d´un fil hollyoodien, sauf que c´était bien réel pour aristocratie ça a été le procès du siècle et elleétait aux premières loges avoir tout de suite d´un crime dans les riches. 27 de janvier de 1990 Margot Bulow. Il avait épousé une des femmes plus belles de l´haute société, elle était incroyable belle et très fortuné. Il n´avait désire sexuel avec son mari. Très belle elle avait les relation adultères avec autres hommes. Elle adorait sentir Son sperme chaud est brûlant sur ta peau. Sa bite cherche l’entrée de ta chatte, elle vient seulement buter sur le parvis de tes plaisirs… c’est fini. Mais les infedelité d´elle n´impliquait qu´impirer la situation. Un mariage que ne durait pas beaucoup de temps. Le monde de richesse et de previléges d´inimaginable glamour. Elle l´avait l´habitude d´être plus riches que les gens qui l´entouraient et rien ressentait pas moin culpabilité, en revanches ses habitudes étaient modeste. Le première mariage de cette timide heritière avec um-n prince arabe. Quelque mois apenas de son divorce, elle tombe amoureuse d´ autre milliardaire. Un vrai seducteur, pleine de charmes. Elle menait une vie bourgeoise.
Un
Vers midi le vent à tourné. Il soufflait du nord vif et continu. Amarildo gonzales, homme d´affaires d´un quarantaine d´âge, plutôt discretvivent avec un épouse , une belle blonde Margot de 27 ans avec un complicité hors du normal. Elle regarde ses traits fins, sa peau douce et presque juvénile, couleur pain brûlé. Ses lèvres, légèrement ouvertes et pulpeuses…”J’ai envie d’un mec… Juste d’un mec, n’importe lequel… Enfin presque… Et celui-là, en face, me chauffe depuis un moment, l’air de rien. Blond, la quarantaine, assez mince, ou plutôt pas trop enveloppé… Il a de belles mains, des doigts longs. Je repense aux bêtises du genre : grandes mains grosse queue…La blonde ai croisé les jambes, les pans de son imperméable ont glissé sur les côtés, dévoilant dans leur quasi-intégralité ses cuisses. Juju a bien vu ses yeux s’allumer au spectacle qu´il venait de lui offrir. Dans la rue, les hommages muets et les sourires masculins se multiplient. On se retourne sur mon passage et les pupilles m’auscultent des pieds à la tête. C’est fou comme un petit week-end de soins attentifs et de préparatifs minutieux peut tout changer dans le regard des hommes”.
– Si j’ai envie d’être belle, sexy et désirable, c’est parce que je suis bien dans ma tête et dans mon corps, et que je veux le montrer. Ma tête est légère, aucune pensée négative ne l’encombre. Je n’éprouve qu’un formidable appétit pour la vie, l’envie de croquer à pleines dents dans les plaisirs qu’elle m’offre, sans retenue ni modération. Mon corps, lui, est à l’unisson.
Un mari inteligente et charismatique, mais sains erection, d´origine d´une famille très riche. Une situation financière très confortable et une passion pour les arts. Margot suffoque dans la tiédeur d´été.
C’était le quatrième jour qu’ils venaient à cet endroit. On le leur avait renseigné comme étant très propice aux diverses rencontres, mais à chaque fois ils en revenaient bredouilles. Peut-être auraient-ils plus de chance le soir? En cas d’échec cet après-midi, ils reviendraient quand la nuit serait tombée. Elle s’était faite toute belle, sexy et à la limite de la provocation. Une petite robe courte de couleur rouge dont le devant pouvait s’ouvrir par de petits boutons dont elle avait pris soin de laisser les trois du haut ouverts. De cette façon, même si elle était menue, sa poitrine serait malgré tout visible par celui qui le voudrait
Ce qu’il appréciait aussi, c’est qu´elle aie un petit côté exhibitionniste, j’ai de jolies jambes autant en profiter pour les montrer. La blonde aime bien me montrer, sans être vulgaire pour autan. au risque de rencontrer quelqu’un, mais c’est ce qui fait le piment de la chose. Margot porte une robe ultracourte avec un décolleté vertigineux, ses seins sont bien exposés sur le milieu, elle est superbe ainsi. Elle a de gros seins. Un observateur trouverait à ses gestes mesures l´allure d´un rituel religieux. une attirance envers les femmes. Il avait juste eu une expérience de masturbation avec une cousine au début de l’adolescence, on bronzait nues sur des transats au bord de sa piscine, et l’envie nous est venue de nous regarder faire mutuellement. Mais c’est tout
- Vous êtes adorable.
– Notre chauffuer m´a baisé. J’ai joui comme jamais.J’étais trempée,je ne me reconnaissais plus.Tu veux de plus? Tu aimerais donc que je laisse un autre homme me posséder?
– C’était trop bon. Je veux continuer à être cocu.
Voilà comment a commencé votre première étape vers son cocufiage. De son côté, son mari a osé me livrer certains de ses fantasmes. Il a adoré avoir un comportement masculin en train de “pistonner” mon partenaire. En effet, Elle s´est découverte de véritables besoins sexuels, purement physiques, des envies de jouir et de toucher, caresser un homme et sentir son désir.
- Mes fesses sont trop grosses.
– Je les trouve très bien moi. Magnifiques, même.
- Arrête, c’est limite indécent !
- C’est vrai. Mais putain, que c’est beau…
- Et tu avais les cuisses grandes ouvertes?
- Tu vois bien, oui.
– Merci, mon amour. Je pensais à toi en même temps ; ça m’a motivéé
- C’est gentil, ça. Motivée? Ça veut dire que tu avais vraiment envie
– J´ai toujours rêvé d´habiter ici, et j´ai eu la chance de voisiner comme princesse.
– Je vous assure que vous ne trouverer problème, dit elle à le mari.
– Je pense que je déjà trouvé la solução. Je vais acheter la maison de Paulo Santacruz.
– Il me plaît. Une voix douce, virile, sensuelle, beau, grand, musclé,sexy, un corps parfete. Ma amie Gina déjà baisée avec lui et dit qu´il a une bite enorme.
Dans ce moment est arrivé Paulo Santa Cruz parler avec son mari. Margot le regarde plaisir et ecitation.
– Si vous permez son épouse merveilleuse. Tu sais que je apprécié ses boucles d´oreilles et sa bouche rouge. Dit Paulo.
– Je veux faire sexe à crever avec toi. Il dit tout devant son mari que sourit.
– Nous serons inseparables. Il y a jamais eu secret entr nous. Super amusante.
– Je t´aime tellement merde, Je n´arrête de penser à vous, dit Paulo.
– Ça a l´ai tentante, je jeux sortir de la rotine, dit Margot.
– J´ai un truc à faire. M´invite chez-vous.
– Il aimerais l´idée il aime se masturber regardant ma relation sexuel avec mes amants.
– Il peux me sucer, être enculé pour l´orgie être complete.
– Je pense qu´il va aimer sa grosse bite
- T’es vraiment un vicieux, un gros pervers…
Le jour suivant.
– J´aimerais d´inviter ce soir le voisin Paulo, il est bien membré, si tu plaît .intimidade avec lui. À toi de apimenter les choses.
La nuit suivante elle a revêtu une de ses jolies tenues qu’elle sait que j’affectionne, tout simplement un chemisier blanc, une jupe à mi-cuisse, des bas et des escarpins à talons hauts, elle est ravissante… D’autant plus que, connaissant sa tarde-robe, Le mari sait que cette jupe avec ces bas permettent, assise, suivant la position ou le croisé-décroisé de ses cuisses, de découvrir le début de la dentelle et ça, il adore… En l’embrassant pour la felicite. Consciente de l’effet qu’elle me faisait et du spectacle qu’elle me offrait, celle-ci, au lieu de refermer ses cuisses, se laissa glisser vers le bord du canapé en les ouvrant un peu plus.
La nuit arrive La sonnerie retentit. Le silence de la nuit est orchestré par le tic-tac de la franc-comtoise du salon. C’est dingue comme le bruit porte la blonde ouvrit la porte et c’est Paulo habillé décontract mais élégant qui la prend entre ses gros bras en lui flanquant deux grosses bises. Margot avait toujours embrassé avec lui. Il était un vrai taré qui faisait relations sexuels tous les jours. Une belle princesse de contes de fées.
– C´est impossible de lui résister Ben, il baisait tout ce qui bouge, non? Il s’est calmé avec l’âge.
- Elle est à toi, tu peux la prendre, là, devant son mari. C’est toi. C’est toi qui m’as mis toutes ces idées dans la tête!
Puis avec la rapidité d’une vipère, elle dégrafa sa braguette, baissa la tête vers mon sexe. Elle caressa sa bite à travers le tissu, massa mes couilles. Tout en se mettant à genoux, aux pieds du canapé, elle lécha son boxer, renifla son sexe. Puis elle le sortit et le prit en bouche.Quelle pipe d’enfer… Margot lui suçait avec avidité. Ses lèvres entouraient sa bite, sa langue joua avec son gland. Ses va-et-vient étaient vigoureux.
– Oh oui bébé… Vas-y, suce-moi comme jamais… Putain… -T’aimes ça quand je te branle, hein enfoiré ? T’es vraiment qu’un petit salaud.
– T’es un gros pervers ! Ça t’excite de savoir que to épouse fais jouir des mecs J’y crois pas… T’as pris sa queue dans ta bouche?
- Oui. Mais attends, je t’explique. J’étais en train de le branler. Il gémissait de plus en plus fort, sur le point d’exploser. Tout à coup il m’a demandé de le sucer pour qu’il jouisse dans ma bouche.
- Allez, va vite la baiser, elle n’attend que ça! –
– Tu vas me goûter un peu.
– Je vais te sucer encore un peu…. Je veux que tu jouisses dans ma bouche et que tu la remplisses de foutre. Quand tu auras finit.
- Vous mari assez sucé pour aujourd’hui. Baise-vous comme ça, par derrière que ma bite reste bien dure..
– Je n’avais jamais giclé autant de sperme. La quantité était impressionnante. Je me vidais littéralement dans la chatte.
Donc, elle est nue, en bas, jarretelles et talons, L´amant entre dans la chambre, nu aussi, belle gueule, athlétique, belle queue, pas trop large pour pas qu’il te déchire trop… On l’appellera l’Étalon. Je m’avance vers lui, en chaloupant un peu façon vamp, elle s’agenouille pour elle mettre en forme, elle lui flatte les boules, elle caresse sa tige, en légers va-et-vient, elle grossit doucement, elle commence à l’agacer de la langue et des dents, puis elle le gobe franchement quand il est bien raide. Et elle voit qu´il bandes aussi son salaud ! Huum, Elle adore une bonne bite à sucer… Mais faut pas trop que j’insiste, il faut qu’il garde la forme pour lui, c’est quand même l’objectif à la base.
L´epouse me fit un clin d’œil, et ouvrit enfin la bouche. Une énorme quantité de foutre mêlé de salive se deveras dans sa bouche. Elle me maintenait la tête pour qu´il n’en rate pas une goutte. Il allait tout boire, absolument tout, et elle le savait. Et, honteux, Il en avait envie.
Le goût était fort, puissant, salé. Ça lui dégoûtait autant que ça l’excitait. Une fois tout le sperme déversé dans sa bouche,Elle lui laissa échapper un petit « ah » de surprise, ravie de lui voir dans cette position, complètement à sa merci.
-Maintenant bébé, fermes la bouche.
Elle devrait tromper leur gentil mari, sucer leur amant musclé, les laisser les pénétrer, la fesser et jouir en elle. Elle gémit en sentant son corps athlétique et chaud sur le sien. Elle ne souhaitait pas trahir son mari ainsi, mais elle ne pouvait s’empêcher d’adorer les pectoraux virils de son bourreau contre ses seins, et son sexe en érection cherchant sa douce fente humide…Il s’enfonça soudain en elle, et il saisit alors ses fesses pour la baiser selon son bon vouloir. Il la défonçait comme sa petite poupée de sexe, serrant son cul entre ses mains puissantes tout en léchant ses seins et en dardant sa langue dans sa bouche. Il enfonça son gros pénis au fond de son vagin, la remplissant comme elle n’avait jamais été remplie de toute sa vie.
– Tu aimes sentir ma queue en toi?
– J’adore, monsieur. Mon mari n’a jamais pu me baiser comme ça…
– Non… fit-elle… Mon mari… Je suis en train de le tromper
-Oui, tu es en train d’offrir ta chatte à un autre que lui… Et tu aimes ça, n’est-ce pas ?
Margot est proche de l’extase, d’une extase qu’elle sait d’avance violente. Elle sait que ce sera d’autant plus violent que l’étreinte est douce et longue. Mais elle est prise de panique
– Oui… Encore, monsieur… encore… Regarde chéri, ce que tu vas prendre dans le cul! Mais je vois que n’es pas plus inquiet que ça, gourmand!
Margot s’installe dans le fauteuil, Étalon approche son gland de ta rondelle, lui conseille de pousser, puis commence lentement à progresser à travers ton boyau, son mari grimaces un peu, Elle mouille comme une folle, Elle écarte les cuisses à fond et elle lui masse le clito de deux doigts. La queue avance, centimètre par centimètre, inexorable.
- Regarde-moi. Garde les yeux ouverts. Je veux voir ton plaisir dans tes yeux. Je veux te voir jouir. Baise-moi. Plus fort. Fais-moi jouir, salaud, fais-moi jouir encore, encore…
De son autre main, il enfonce ses doigts dans son vagin, sans cesser de titiller son bouton. Putain, c’est trop bon, il lui faudrait une autre queue à elle aussi ! Étalon t’encule jusqu’à la garde maintenant, le mari grimaces toujours, et pas qu’un peu, mais faut en passer par là. Et puis il te poses moins de questions quand c’est elle qui est à ta place… Il se met à remuer tout doucement,
– J’en ai toujours rêvé…
– Candauliste et cocu volontaire, oui. Cocu tout court, non. C’était une trahison. Rien de plus…
C’est surréaliste. Son mari se fait posséder par son amant alors que elle aussi. Son petit trou doit avoir déjà une bonne expérience car la longue queue confessa le mari.
- Nous allons maintenant donner à cette chienne en chaleur ce qu’elle attend.
– Dommage que ta queue ait été si loin de moi…
La cadence s’accélère petit à petit, il grimaces de moins en moins, et l´époux commences à soupirer en rythme, elle l’astique le clito à fond. Bordel, qu´ell a envie d’une grosse bite au fond de sa chatte ! Étalon le ramone à grands coups de reins,
– Fais-moi crier, fais-moi jouir. Plus fort, s’il te plaît. Plus vite. Mets-la-moi bien au fond.
Il grimaces, mais de plaisir à chaque coup de boutoir, ça dure cinq minutes, puis il jouit dans ton cul dans un râle puissant, Elle ’y arrive pas, il lui faut vraiment une queue! Étalon s’écroule sur ton dos, te plaquant à nouveau contre les draps, vous êtes inertes tous les deux : hé ! Pas de ça! Et elle, Margot?
– l est venu en fin d’après-midi. J´ étais habillée assez sexy, avec une robe courte et un beau décolleté. Il m’a baisée. Tu vois, hier ilm’a excitée avec sa grosse queue, et quand il est venu. Il m’a baisée deux heures durant, et m’a donné plein d’orgasmes. Il en avait, du jus ! Quand il a fini, je n’avais même plus la force de me lever pour prendre une douche.. Tu comprends, chéri, je n’ai pas pu résister, ça s’est fait tout seul… Paulo est tellement animal, il dégage un charme brut.
Mon amour, je n’imaginais même pas que nous puissions en arriver là. Je pensais que tu reculerais, dit le mari cocu.
Il n’arrivait pas à s’endormir ce soir-là… Où était-elle donc passée? Il tournait et se retournait dans leur lit, tourmenté par cette idée qui avait germé et faisait son chemin dans son esprit depuis quelque temps déjà: sa femme était allée baiser ailleurs.
Margot sortit de la voiture et se dirigea ver la plage. Une impression de bien-être qu´elle avait pas ressen inteligente et charismatique depuis des annèes la submargea. Elle étendit ses bras et se mit à tourner sur elle même en riant c´était u tel de bonheur de se retrouver là, Où elle avait grandi. Tous ses problèmes s´évanouirent d´un seul coup comme chassés par l´air du large. Le vent que lui fouettait le visageet faisai s´envoler ses cheveux blonds amenait l´odeur des embrans. Ses yeux au reflets tourquoise s´illuminèrent de plaisir. Le ressac de l´océan s´échouant sur le granit rose, sonna à ses oreilles comment un chant tro p longtemos oublié. Elle se pencha vers la sable fin et tiède et déterra une coque que gisait là, abandonné par la maré prenant son élan. Elle lança d´un geste précis vers la mer cherchant à la faire ricocher sur les vaugues comme lorsqu´elle était enfant. Elle reste lá, â la regarder disparaître contemplant l´immensité marine aux couleurs changeants et s´enivrantde sensations familères. Enfim suspirant, sereine les sourires aux lèvres elle se dirige vers la Mercedes décapotable, modèle 2000 que l´attendait.
Elle s´installa au volant et alors que le soleil tendait à disparaître derrière l´horizont, elle reprit sa route vers le petite village qui surpomblait l´océan quelques quilometres plus loin, une voix la sortit brusquement que son état de transe programmée. La vague de chaleur miroitait sur la chaussée, dans cette lumière humide et troublé, le grande homme blond que s´appuyait nonchalamment contre la berline argentée du gouvernement, la voiture dessine um arc de cercle sur le pavê puis se gara. Elle fit semblante d´ignorer la presence de la voiture. Et consultait sa montre ressemblait un peu à un miragem. Il leva les yeux aperçu la belle blonde et grimaça.
Il y a toujours um moment de frottement à la fin d´un spectacle comparable à l´instant du rêveil lorsque l´on tente de ramener des fragmants de rêve à la consciência. Des souvenirs de formes entrevus et de échos de la nuit.
Accepteriez-vous de partager mon rêve? Répétâ la voix
Brutalement deconecté le jeune femme revint au monde réel en léchant échapper un cri.
– Mas, que..
– Oh, excusez-mo, reprit la voix féminine, je vous croyez déconocté. Je ne voulais pas g la présence da voiture.âcher votre plaisir.
Comme Margot réagissait encore avec difficulté, prisionnaire du monde virtuel, l´inconnu etendi la mainet lui ôta son casque neuronal. Elle sembla enfin la remarque et revint à la réalité, elle cliqna les yeux.
– Vous allez bien?
– Euh! Oui je crois, mas que c´est-il passé?
– Je suis désolé, J’adore ton odeur. Ça m’excite. J’ai toujours su que tu étais chaude. Tu es très jolie, j’ai beaucoup pensé à toi. J’ai même rêvé de toi…
– J´i pensé que tu cherchait diversão? Mon épouse se maquillait et portait de rouge aux lèvres et ses vêtements plus courtes pour plairer d´autres hommes, avances des mecs.
– Drôle de type, dit Margot. Ravi de te rencontrer. Alors tu connais la region?
– C´est exact, en effet.
– Je suis allé justement à une fête. Tout le monde est invité.
– Fête de quoi?
– Nous n´avon pas encore les détails.
– J´ai te dit tout que je savait. Nous pouvons aller boire un verre et s´amuser. Si tu as une liaison oublies…
– Je suis mariée aussi et aimerais plus une fois de faire mon mari cocu.
– Qu´est-ce que tu veux dire?
Mais sans lui répondre mon ami sort de la voiture et se dirige vers la l’entrée et pousse la porte.Je passe la porte et la retrouve dans une salle vieillotte quelques chaises de skaï rouge et aux tables en bois dont deux sont occupés par des blacks devant un café, la au comptoir 3 ouvriers arabes discutent et derrière le bar le patron dans les soixante ans les regarde entrer.le bar est vide.
– Que la soirée va être loin. Je vais baiser avec toi parce que mon mari adore aussi. Il aime lecher spermes de mes amants.
Une scène de sexe unique et fragile. Dans la fête voir un jeune adorable…
Elle alla s’asseoir sur le banc, gardant une distance respectable avec le jeune homme. Sa petite robe dévoilait ses jambes jusqu’à mi-cuisses, un vrai régal pour les yeux. Elle laissa passer quelques minutes puis adressa la parole à son voisin.
- Bonjour.
- Bonjour. Vous êtes très jolie, et vos jambes toutes bronzées sont splendides, dit l’homme.
– Il faudrait qu’on se mette d’accord sur les moments où je peux aller le voir…me demanda-t-elle, soudain.
-Tu es sûr de toi, ma belle?
– Oh, mon cœur, ce n’était pas vraiment de l’amour. Mais plutôt une session de baise pure… C’était du sexe sauvage.
– On a baisé comme ça pendant de longues minutes. Jusqu’à ce qu’on jouisse tous les deux.
-Ne le prends pas pour toi. Mais son sexe est gros… Vraiment gros. – Oh oui Mec encore,c’est bon avec toi; au moins je sens quelque chose, enfin. J’ai joui comme jamais.J’étais trempée,je ne me reconnaissais plus. Après avoir joui dans ma chatte,
Un salt brutal de contact avec la realité. Sur le plan physique j’aimais beaucoup Henri, qu´elle trouvait sexy. Néanmoins à partir du moment que Margot s´est devenu de plus en plus féminine ainsi que docile, s’est intensément intéressé à lui. Bien qu´il ne réagisse pas à ses avances.
Il fallait absolument attirer le regard de l’homme sur cette partie de son anatomie, le régaler et le tenter. Ce fut vite chose faite, il se rinça l’œil sans complexe. Les cris et les aplaudissements parvenaient jusqu´aux. Um couple hors du normal.
L´inconnu l´observa um instant, inquiete puis un sourire rassure sur ses séduisantes lévres nacrées. Margot n´avait jamais rien vu une bite si grosse. Elle était terriblement excitée malgré la bestialité de la situation. Elle a osé des choses que jamais elle n’avait tentées et cela lui a plu… Énormément, elle a trompé son mari. Toutes ces pensées se bousculent, mais elle a beau ressentir de la honte pour son comportement, elle ne peut s’empêcher de penser à la jouissance qu’elle a ressentie.
– Vous pensez que ça, maintenant?
– Eh bien, j´espère jamais vous oublier.
– Tu es d´une Beauté vraiment hors du normal.
– Je ne peux te dire mon baiseur especial que je vais interdit.
– Que je peu faire pour la trouver?
-Va me le chercher, toi même.
Dans cette époque son mari decédé repousant dans un cercueil. Hommes comme femmes à la fois des civils et des policiers. Le temps est ensoleillé et lumineux dehors, une magnifique Journée gâché par le fait de devoir enterrer son époux. Qu´il est étrange pense-t-elle de voir comment cerveau fait tout son possible pour se distrair de la réalité de la morte. Em ce moment son cerveau essayait de saisir l´idée quélle allai devoir vivre de restes de ses jours sans son mari, avec seulement ses amants. Elle savait que c´était la vérité, mais celle-ci ne paraissait pas réel.
- J’ai besoin de quelque chose en moi! Mais je n’ai rien sous la main.
– Tu n’as pas de dildo ou de vibromasseur ? C’est étonnant de la part d’une nympho comme toi.
Une fois dans sa voiture, elle hésite encore à aller jusqu’au bout de sa démarche. Elle était si respectable avant sa rencontre avec son chauffeur noir, maintenant elle est devient insatiable, tout l’excite. Elle a envie de sexe. Elle a envie de jouir. Un homme assez jeune l’aperçoit. Il fuit son regard. Le jeune homme quitte le magasin rapidement alors qu’elle se trouve dans le rayon des gadgets. Il y en a de toutes sortes. Elle voit des godes de toutes tailles, certains sont vraiment très gros. Elle se dit qu’elle ne pourrait jamais s’introduire quelque chose de cette taille. Elle en voit composé de boules dont la taille augmente peu à peu. Certains ont des formes très bizarres. Comment choisir parmi toute cette diversité? Il en profite pour regarder ses seins. Il lui annonce un prix qui la fait frémir. Osera-t-elle jouer le jeu jusqu’au bout? D’une petite voix elle lui demande: Elle est là devant lui, prête à lui offrir sa poitrine et à lui sucer la queue. Ses yeux s’agrandissent en remarquant les tétons pointés à travers le tissu de la robe de sa cliente. Il n’ose pas encore profiter de la situation. Elle se cambre légèrement pour accentuer la courbe de sa poitrine. Elle respire profondément. Ses mains ne quittent pas le comptoir. Il ose enfin approcher ses mains doucement. Il passe d’abord ses doigts le long de ses seins pour tester sa réaction. Il profite passionnément de la poitrine de sa cliente en la malaxant. Il la soupèse et apprécie son volume. Elle ferme les yeux, elle apprécie les sensations que lui procurent ces mains inconnues. Elle ouvre grands les yeux en poussant un petit cri quand elle le sent lui pincer les tétons pour ensuite les tirer vers lui. Elle n’a d’autre choix que de se pencher un peu sur le comptoir. Il a un sourire carnassier maintenant qu’il profite pleinement de cette volumineuse poitrine.
- Viens me rejoindre !
Elle fait le tour du comptoir pendant qu’il défait la fermeture éclair de son pantalon. Il en sort un sexe circoncis plutôt court et déjà bandé. Une petite goutte de liquide perle au bout de son gland violacé. Il sort aussi ses bourses poilues en les caressant. Elle s’agenouille devant lui et commence par lui caresser le sexe. Ses doigts parcourent toute sa longueur et font le tour de la base du gland, provoquant un gémissement du caissier. Il lui relève le menton et lui indique de se mettre sous le comptoir. Elle s’installe à genoux sous le comptoir étroit. Elle reprend ensuite ses caresses. Elle passe maintenant sa langue le long de sa verge malgré l’odeur forte qu’elle dégage.
– Une bourgeoise en manque de bite
Elle pose ses lèvres sur le gland puis elle descend le long de ce sexe, appréciant son volume dans sa bouche. Son front frotte contre la bedaine du caissier. Elle entame un mouvement de va-et-vient. Le bruit qu’elle fait en le suçant l’excite un peu plus encore. , elle commence à le sucer furieusement. Elle a accéléré ses mouvements. Elle aspire son sexe. Elle commence à se caresser frénétiquement d’une main jusqu’à la jouissance. L’homme n’en peut plus de se retenir. Il lui attrape les cheveux et la force à le garder en bouche. Et dans un râle puissant, il lui éjacule dans la bouche. Elle essaie d’avaler sa semence au fur et à mesure, mais elle en laisse s’échapper un peu. Elle sent le liquide couler le long de son menton et s’écraser sur sa robe au niveau de son sein gauche. Il la libère enfin en gémissant.
- Eh bien ma petite dame, vous avez bien mérité votre remise de 50% ! Cambre-toi… oui c’est bien, ma chérie. J’aime que tu m’obéisses. Passe tes mains dans tes cheveux… oui c’est bien… cambre-toi au maximum. Présente-moi tes beaux fruits
– Suce-moi, j’en ai envie ; montre-moi de quoi tu es capable.
– Elle s’est agenouillé; il s’était mis du rouge à lèvres. Etonnant. x il se l’est engouffré dans la bouche et a commencé à sucer comme une vrai pro de la pipe..
– De quoi as-tu envie maintenant , dis-moi.
– Je veux que tu m’encules comme fasait mon mari,
– Merci Mec, tu es bon tu es gros.. Mon Dieu, mais c’est une bitte que grosse vous avez! Quelle bonne idée, vous voyez un peu mon cher comme sa salope est une femme d’exception ?
Fin
Ivan Ribeiro Lagos