Je m’appelle jeff, j’ai 65 ans,
Le nom de ma sœur est Helena et elle a 55 ans.
C’est une très jolie femme, avec un très bon corps pour son âge.
Ce qui m’excite le plus et me rend fou de désir, ce sont ses seins, ils ne sont pas énormes, mais ils ne sont pas petits non plus. Ils sont de taille moyenne, ses tétons brun foncé. Ses tétons sont toujours marqués dans les vêtements même en portant un soutien-gorge. Ma sœur est veuve depuis 10 ans et n’a été qu’avec un seul homme dans sa vie.
Moi, j’ai divorcé depuis 5 ans et je vis avec elle, nous vivons seuls, nous deux. Tout a commencé un jour où je me suis réveillé avec une envie de faire pipi et une érection typique du matin. J’allais aux toilettes et j’ai trouvé ma sœur devant moi qui en sortait. Elle est sortie en chemise de nuit, ses seins bougeaient librement et marquaient bien sûr ses gros tétons.
Mes yeux se sont fixés sur eux sans pouvoir les quitter, j’ai complètement oublié mon pénis en érection jusqu’à ce qu’elle fixe ses yeux sur le renflement qui marquait mon énorme sexe dans mon caleçon, à ce moment je me suis souvenu de mon érection qui montait en intensité.
-Mmmmmmmmm…
-Bonjour soeurette.
-Bonjour frérot. Répondit-elle en souriant tout en fixant mon renflement.
Avant d’entrer dans la salle de bain, j’ai regardé son derrière et j’ai réalisé qu’elle ne portait pas non plus de culotte.
Je me suis assis sur les toilettes pour pouvoir faire pipi car mon érection ne me permettait pas de le faire debout.
J’étais assis là, à penser aux seins de ma sœur et j’ai vu sa culotte dans le panier à linge.
Elle était encore chaude, elle venait de l’enlever, quelques instants avant.
Je l’ai rapprochée de mon nez et l’odeur a rendu mon pénis complètement en érection. Mon excitation était telle que j’ai commencé à me masturber et il ne m’a pas fallu une minute pour jouir avec sa culotte sur mon nez.
La journée s’est déroulée normalement, à l’heure du dîner et devant la télé, quelques images sont sorties qui nous ont fait parler de sexe.
Nous avons parlé de sexe en général jusqu’à ce qu’elle évoque la réunion que nous avions eue le matin.
-Quelle incroyable érection tu as eue ce matin en allant aux toilettes ! Dit-elle en riant.
-Eh bien oui soeurette, je n’ai pas couché avec une femme depuis longtemps et en plus je te voyais en chemise de nuit avec tes tétons qui ressortaient à travers ta chemise de nuit, ça m’excitait encore plus.
-Haha, j’avais déjà remarqué que tu ne les quittais pas des yeux.
-C’est qu’ils sont très beaux,et je suis très excité par les seins aux gros tétons.
-Haha, je suis flattée qu’ils te plaisent, je ne pensais pas qu’ils attireraient ton attention à mon âge, mes seins sont déjà un peu flasques.
-Tes seins sont de magnifique soeurette, beaucoup de femmes aimeraient les avoir comme toi, ça m’excite beaucoup.
-Et comment avez-vous réussi à faire baisser cette érection ?
-J’ai dû me masturber…
-Comment tu me parles, je suis ta sœur !
-Je sais, mais tu es aussi une femme et en plus j’ai vu ta culotte et je n’ai pas pu me contenir, je me suis masturbé en la sentant.
-Quoi ? Tu t’es masturbé en sentant ma culotte ?
-Tu as aussi regardé mon érection, tu ne l’as pas quittée des yeux, soeurette.
-Oui, c’est vrai. Haha, je suis aussi une femme.
-Tu es aussi masturbée soeurette ?
-Nooon, je ne suis pas assez vieille pour ça.
-C’est parce que tu ne veux pas soeurette, ton âge n’est pas un obstacle pour que tu aimes le sexe, je suis sûr que tu as aimé voir mon pénis en érection.
-Eh bien, oui, je ne l’ai plus vu depuis des années.
Avec ce sujet de conversation, mon pénis était à moitié dressé et ma sœur l’a remarqué quand je me suis levé pour débarrasser la table.
-Est-ce que tu deviens encore dur ?
-Ben oui soeurette, avec notre sujet de conversation, je n’y peux rien.
-Et toi soeurette, tout ça ne te rend pas chaude ?
-Un peu, oui, je suis gênée de te le dire, mais tu sais que je suis sans homme et sans sexe depuis plus de 10 ans, et c’est difficile…
-Eh bien alors tu peux te masturber, sœurette.
-Je n’y connais pas grand-chose, et j’aurais honte de le faire, mais peut-être qu’un jour j’essaierai de le faire.
Ma demi-érection était devenue une énorme érection et sans réfléchir je me suis approché d’elle et lui ai dit :
-Pour que tu n’aies plus honte, je vais te montrer mon érection.
-Noooon…
Je ne lui ai pas laissé le temps d’en dire plus, j’ai baissé mon pantalon et mon caleçon, et mon pénis bandé s’est retrouvé devant son visage.
-Mais qu’est-ce que tu fais ? Dit-elle en fixant son regard sur mon pénis. J’ai attrapé sa main et l’ai rapprochée de mon pénis, elle a hésité un instant et l’a attrapée timidement.
-Très bien, sœurette, caresse-le, ne sois pas gênée…
Elle a commencé à le caresser doucement pendant que je commençais à toucher ses seins, caressant ses mamelons qui me rendaient fou.
Mon pénis est devenu très dur, comme ses mamelons. Elle gémit doucement en agrippant fermement mon pénis, puis elle a commencé à me branler, elle avait perdu sa honte.
-Tu aimes sœurette ?
-Ouais, je me sens humide et excitée…
J’ai enlevé la main de mon pénis et je l’ai rapproché de ses lèvres.
-S’il te plaît, prends-le dans ta bouche,sœurette !
Sans hésiter, elle l’introduisit dans sa bouche et se mit à le sucer maladroitement, mais cela me procura beaucoup de plaisir. Je la laissais profiter du moment durant quelques minutes, puis je l’ai relevée et nous sommes allés dans la chambre.
-Maintenant tu vas me laisser faire ma sœurette.
-Oui, je veux que nous profitions de ce moment.
Je m’assis sur le lit, la mets devant moi et la déshabille complètement.
L’image de ses seins et de ses mamelons dressés m’a fait gémir de plaisir. J’étais très excité, j’ai commencé à lui lécher les seins et à lui sucer les mamelons. Elle a attrapé ma tête en me serrant sur ses seins, gémissant de plus en plus et de plus en plus.
-J’aime ça, continue.
Ma main a caressé sa chatte qui était très humide. Mon doigt a caressé ses lèvres puis son clitoris et elle a gémi.
– Aaaah. Oui, oui, je vais jouir… Je vais jouir… Ouiiiiiiiii…
Son orgasme fut très long et profond, ses jambes tremblèrent et son corps s’affaissa sur le lit.
L’image de ma sœur nue, allongée et haletante, fit exploser mon sexe. J’ai écarté ses jambes et j’
J’ai commencé à lui lécher la chatte, à goûter ses jus, à sucer son clitoris.
Elle recommença à gémir, mes doigts caressaient ses tétons, ma langue continuait de sucer, lécher son clitoris.
Je suis monté sur elle et j’ai dit :
-Tu veux que je te baise sœurette ?
-Oui, baise-moi, je suis sur le point de jouir à nouveau.
J’ai inséré mon pénis dans son vagin dégoulinant et un énorme gémissement est sorti de nos bouches en même temps. Je commençais à la pomper, de plus en plus vite, ses mains serraient mon corps, sa bouche a cherché la mienne et elle m’a embrassé profondément.
-Je jouis, frérot, aaaah…
-Moi aussi, sœurette, aaaaaaah…
Nous avons joui tous les deux en même temps, ce furent des orgasmes énormes, mon sperme a jailli, remplissant sa chatte rose, puis coulant de son vagin pour mouiller son anus et ses fesses.
Nous nous sommes embrassés en récupérant de nos efforts.
-frérot, tu m’as fait ressentir à nouveau le plaisir que j’avais oublié.
-Tu m’as aussi donné beaucoup de plaisir, sœurette et à partir de maintenant nous allons nous faire plaisir.
-Je vais t’apprendre à aimer le sexe, tu vas essayer de nouvelles choses, je vais te baiser comme personne ne l’a fait, sœurette.
-Demain, nous continuerons.
-J’ai hâte d’y être, dit-elle.
On s’est embrassés passionnément, nos langues se croisant rapidement et puis nous nous sommes endormis.
Le matin nous nous sommes réveillés dans les bras l’un de l’autre,on se met tout de suite en position assise sur le lit,on se regarde avec un grand sourire sur notre visage!
-Frèrot, autant que je me souvienne, je n’ai jamais éprouvé un tel plaisir jusqu’à aujourd’hui!Tu m’as fait me sentir comme une femme hier soir, j’ai oublié ce qu’est le plaisir!
Mon frère, je ne m’attendais pas à ce que de toi à ton âge, tu me donnes du plaisir que personne ne m’a donné avant aujourd’hui ! J’espère que nous ne cesserons pas du tout de nous faire plaisir à l’avenir! A partir de maintenant, nous devons être prudents pour éviter à nos enfants de suspecter ce qui se passe entre nous.
FIN