Le sexe est une souce gratuit de bonheur qui est sûrement bien plus forte que l aculture la bouffe ou encore la drogue que mettre en perspective ses questionements de vir avec légèreté partage et liberté ça fait plaisir et c´est avec prude. Comment passe-t-on d´une petite vie tranquille et mariée et sans histoire que soudain frequentait l´haute societé et des soirées libertines. Sortir de sa residência et faire l´amour avec 50 personnes cherchent un jeune beau, riche à marier comme dans le conte de fées.
C’était l’anniversaire de cet homme dont je ne savais rien. superbe blonde comme offrande pour ma nuit d’anniversaire. Elle sera traitée comme une princesse. La blonde s´est donc entrée chez lui, heureusement, il n’habitait qu’à 20 minutes de chez moi en voiture. Quand je suis arrivée chez lui, Il a tout de suite été impressionnée par la somptuosité du lieu. Les volumes étaient immenses, les tableaux de très belles confections, et l’escalier, en bois massif! Je suis montée, sur la pointe des pieds, comme nous l’avions précédemment convenu, avec une excitation immense à l’approche de ce qu´il allait découvrir une fois en haut.
La blonde était seul dans son appartement et la lecture de cette carte m’avait gentiment mis le feu. Ses pensées étaient accaparées par la situation que elle allait vivre. Elle se demandait si elle allait être capable de descendre jusqu’à sa voiture, nu comme un vers sous le manteau de castor. Allait-elle croiser du monde? Que dire à des voisins qui lui poseraient des questions? Son mari et lui, avaient mis au point un jeu sexuel qui lui procure un maximum de plaisir. Elle vai tacher de vous expliquer cela.
L’excitation intense se mêlait à l’inquiétude grandissante. Elle s’apercevait malgré tout que son sexe qui s’était érigé en lisant la carte était aussi dur que le marbre sur lequel Juju s’était fait tringler quelques jours auparavant. Même s’il m’avait envoyée quelques photos de lui, je n’étais pas sûre de savoir qui j’allais rencontrer… et je n’avais pas non plus l’habitude de répondre à ce genre d’annonce tous les quatre matins. Une boîte noire était posée en haut de l’escalier, ainsi qu’une belle paire d’escarpins noirs. Elle a ouvert le coffret avec beaucoup d’appréhension, j’espérais que les goûts en matière de lingerie de Dominus (son pseudo sur le site) n’étaient pas trop kitsch. Cela aurait pu définitivement casser son fantasme. Mais heureusement, j’y ai découvert une superbe nuisette en soie, agrémentée d’un string tout mini. Tout était à sa taille, ce qui était assez impressionnant vu que je n’avais transmis aucune indication sur sa corpulence à son ravisseur de ce soir.
– Tu est une pute de luxe?
– Plus au moins. Ça c´est typiquement le genre de reflexion de quelqu´un que pas vraiment goûte.
– T´enerve pas. Il a surement des talens et beaucoup d´argent.
– Putain, tu sais que tu es bandante et si belle.
– Allez mon chéri, met toi à genoux je vais t’enculer
– Cambre toi mon chéri dis-je en appuyant sur ses reins. Il bande tellement que sa queue reste collée à son ventre. Je passe ma main sur ses couilles, je les prend dans mes mains les fait rouler. Tandis que de mon autre main j’enduis sa rosette de crème. Je ne veux pas lui faire mal.
.- Je pose le gland sur son anus et là je m’apprête à le pénétrer. Juju assite à tout.
– Prend moi chérie, encule moi à fond prend moi comme une salope. Oh oui comme çà c’est bon mon amour dit il
Il avait sans doute dû être inspiré par les photos de mon profil, des photos osées et bien cochonnes choisies en créant mon profil. En tout cas, elles avaient dû lui plaire aussi puisque c’est moi l’heureuse élue pour cette belle aventure, malgré la candidature de nombreuses concurrentes. Enfin, c’est ce dont il s’était vanté dans ses messages.
Il avait sans doute dû être inspiré par les photos de mon profil, des photos osées et bien cochonnes choisies en créant mon profil. En tout cas, elles avaient dû lui plaire aussi puisque c’est moi l’heureuse élue pour cette belle aventure, malgré la candidature de nombreuses concurrentes. Enfin, c’est ce dont il s’était vanté dans ses messages.
En arrivant dans le salon, je pris place sur un fauteuil de velours encerclé de bougies. Cela donnait une atmosphère toute particulière à la pièce, à la fois mystique et atemporelle et en même temps, incroyablement érotique ! Dominus avait le sens de la mise en scène, on ne pouvait pas le lui reprocher. Alors que j’étais plongée dans mes pensées, je n’avais pas senti les pas de mon bel inconnu se rapprocher de moi, par derrière. Il m’a embrassée tendrement dans le cou. Je me suis immédiatement retournée pour voir de quoi il avait l’air. Je l’ai immédiatement trouvé à son goût.
Il avait ce visage dur, ce visage d’homme mâture qui a connu de nombreuses expériences et dont le regard en reste imprégné. Son torse relevait même du surréaliste, il dévoilait une musculature soigneusement travaillée, lisse et luisante. Il était vêtu d’un simple jean noir.
-Tu reviendras
– Oui quand tu voudras!
– Alors contente de ta soirée , ma chérie?
– Très répond- elle en soupirant d’aise
Elle ne croit pas avoir déjà vu un homme aussi sexy. On pense souvent que c’est aux femmes de devoir faire tout le travail de parure érotique. De se pomponner, de soigner sa toilette, de prendre soin de sa peau. Mais je peux vous assurer que la gent féminine est tout aussi sensible aux apparats d’un homme, à sa posture, son maintien, son odeur. Il m’a regardée droit dans les yeux, comme pour observer son offrande, cet objet tant convoité qui restait inerte, sur son fauteuil, le regard attentif. « Alors, tu es venue. Malgré la peur, l’appréhension, le risque, tu es venue. Tu sais que tu seras à moi, pour ce soir? Si tu refuses et que cela te semble trop contraignant, il faut que tu partes maintenant. Sinon, je pense bien qu’il te sera difficile de quitter ces lieux avant de m’avoir donné mille plaisirs. Alors, tu restes ? » J’ai acquiescé, la culotte trempée.
Sa voix m’intimidait tellement que je n’osais pas répondre. Je me suis contentée de l’embrasser avec entrain comme signe de dévouement. Lui donner du plaisir était la chose qui me semblait la plus importante en ce moment même.
Il a léché mes lèvres avec envie, savourant ce délicieux préliminaire comme une mise en bouche pour la suite. Il s’est ensuite agenouillé face à moi tout en ôtant ma nuisette. J’ai surpris son regard admiratif lorsqu’il a découvert ma paire de seins.
Oui, ces seins ne sont pas les originaux, pas besoin d’être fin observateur pour le remarquer. Mais j’ai toujours aimé l’idée de représenter un fantasme pour les hommes. D’être cette petite poupée, si irréaliste et en même temps si bandante.
Dominus m’a alors faite asseoir sur le fauteuil et a bien écarté mes jambes. « Laisse-moi voir ta chatte. Tu sais que tu me l’as offerte pour la soirée ? Que je peux en faire ce que je souhaite ? Laisse-moi bien voir à quoi elle ressemble, laisse-moi voir ses plis, ses secrets et ses odeurs, laisse-moi voir ce qu’elle mérite pour avoir osé pénétrer dans ma maison sans même s’annoncer. »
Sa voix était ferme et autoritaire, et cela me faisait mouiller davantage. C’était certainement l’effet que recherchait Dominus, toujours en train d’observer mon trou. Il a collé ses lèvres dessus comme aimanté par son parfum entêtant. Il en léchait la liqueur, comme d’autres savourent de bons vins. Elle sentait sa langue parcourir les moindres recoins de son intimité. C’était très troublant de se faire fouiller de la sorte par un total inconnu, comme si finalement, vous perdez une petite partie de vous-même, cette partie qui vous permet d’être dans la retenue, de maintenir les gens à distance, d’être dans le contrôle. Cette partie-là, je devais l’abandonner. Dominus avait les pleins pouvoirs sur son corps, il fallait qu´elle réussisse à être dans l’abandon. Elle sentait sa langue râpeuse et humide appuyer de plus en plus fort sur son sexe. C’était très bon, cet homme dont je ne connaissais rien savait manifestement parfaitement comment fonctionnait le corps des femmes. Il maîtrisait son sexe comme un instrument de musique et ses variations étaient divines.
- Qu’est-ce que tu es bonne. Ton goût est très marqué ce qui révèle que tu es une amatrice de sexe, une petite cochonne qui aime qu’on la lèche. Sens comment ton odeur me pénètre les narines.
– JuJu gémit de plus belle; tu as vu, cocu comme on s’occupe bien de ta femme?
– Euh oui , oui, je fais plutôt honteux!
– Je veux te l’entendre dire !oui je vais vous sucer et à haute voix !
À ces mots, il l’enfonça un doigt dans la chatte qu’il porta à sa bouche. « Beurk » c’était vraiment dégoûtant, c’était assez acide et cela sentait le plateau de fruits de mer. Il essuya son doigt sur un coin de sa joue et lui fit signe de se lever. « C’est à toi, maintenant, de me donner du plaisir ! Tu m’as fait bien bander, je veux que tu conserves cette belle érection, et que tu la rendes encore plus dure. » Il s’assit donc sur son trône, débraguetta son pantalon et dressa son pénis en dehors de son jean. Dix-neuf centimètres en débordaient, prêt à se faire engloutir. En le regardant bien dans les yeux, je me suis mis à lécher le bout de son gland, et à baver sur sa tige, Sa queue était toute rose et bizarrement lisse, aucune veine ne semblait l’entourer, on aurait dit qu’elle était en plastique. Mais au goût j’ai senti que c’était une vraie. Il n’y a que les vraies queues d’homme qui peuvent à ce point être relevées avec autant de sel et d’amertume.
Plutôt que de la conserver en bouche, j’ai tout de suite voulu qu’il me l’enfonce dans mes entrailles. Je me suis positionnée à quatre pattes sur le fauteuil et j’ai bien cambré mon dos. Dominus me félicita pour cette prise d’initiative, il aurait bien voulu continuer la fellation un peu plus longtemps, mais se retrouva fort content par la vue de ma croupe offerte.
Il badigeonna son sexe avec un onguent assez bizarre, qui était posé près du fauteuil. Cela sentait les plantes et la pommade pour bébé, c’était assez étonnant… et vraiment très efficace ! Dominus est entré en moi avec une facilité déconcertante.
Je faisais tout ce qui était en mon possible pour me décontracter, et lui laisser le passage libre jusqu’au fond. Je devais lui être offerte, pas question qu’il se retrouve avec une femme frigide.
Il a passé sa main sur mes cheveux et les a enroulés autour de son poignet, de sorte à tirer sa tête en arrière. De cette façon, impossible pour moi de lui résister, Elle était obligée d’encaisser comme je pouvais ses coups de boutoirs. Il l’a ensuite prise par la taille pour pouvoir lui pénétrer au plus profond de mon sexe. De ce qu´il pouvait se souvenir, c’est la première fois qu’un homme me baisait avec autant de vigueur. Certes, j’en avais connu, sur le site des libertins, des petits pervers, des amoureux de la belle lingerie, des adeptes de l’étreinte musclée, mais je peux vous affirmer que c’est la première fois quil voyait ça!
Une baise hard et sans concession, une fièvre furieuse qui vous emporte plus loin que vous n’auriez jamais pu l’imaginer. Prise dans cet élan d’excitation, il a voulu tout d’un coup contrôler la pénétration, elle voulait être celle qui domine. « Peux-tu t’allonger sur le sol ? Il aimerait voir ton regard quand je te baise, j’aimerais voir ce que ça te fait de savoir que ta bite est en moi, comment tu vibres… »
Il fut très étonné par sa proposition assez osée, et je ne pus moi-même me dire que j’avais été assez cavalière sur cette affaire ! Normalement, je me contente de suivre le mouvement durant les ébats, je ne sais pas pourquoi j’ai eu soudainement envie d’en imposer la cadence ! Mais tant pis, Dominus s’est allongé sur le sol, suivant à la lettre mes indications, et je me suis assise sur lui, telle une reine sur son trône.
En m’enfonçant, je regardais attentivement la moindre de ses réactions, il avait fermé très fort ses yeux et massait mes mollets avec délectation. Il poussait des petits cris pour m’encourager dans ma manœuvre « Mmmh » « Oooooh » « Okeeeey ». C’était assez drôle, on aurait dit un commentateur de match sportif.
J’ai posé une main sur sa bouche pour le faire taire, pas question qu’il me sorte de mon délire, et j’ai commencé à m’exciter sur lui. À l’aide de mes bras, je réussissais de vraies prouesses techniques, je devais en être à presque 30 coups de bite par minute, une très belle performance. Il avait du mal à garder sa bouche fermée, et faisait des efforts surhumains pour éviter de crier.
Il faut dire que j’y allais bien fort ! Je voyais de la sueur perler sur son torse et glisser sur son tapis. Les gouttes formaient des petites perles brillantes à la lueur des bougies, c’était magnifique, un peu comme regarder la mer lors d’un coucher de soleil. Dominus avait quelque chose d’absolu dans sa façon de baiser. Je sentais qu’il allait jouir, sa bite se raidissait en moi de manière spectaculaire.
Certains hommes ont l’orgasme furtif, il ne faisait manifestement pas partie de cette catégorie. Je suis descendue de ma monture, et je l’ai branlé pour récolter à la bouche les quelques gouttes de son sperme. Il me l’avait spécifiquement demandée dans nos échanges, et je savais que cette erreur aurait pu m’être fatale. En repartant de sa magnifique propriété dans ma robe de chambre, tout aussi nue qu’en y arrivant, j’essayais de me remémorer cette folle nuit. Je n’avais jamais connu quelqu’un d’aussi intriguant, quelqu’un de si mystérieux, et surtout quelqu’un avec une telle puissance érotique !
Alors que je rallumais mon portable pour savoir si j’avais raté un message durant les quelques heures qui s’étaient écoulées, je me suis aperçue qu’il avait déjà envoyé un message « Je ne t’ai pas dit ? C’est mon anniversaire tous les mois. Partante pour un second round ? » J’ai souri intérieurement. J’allais avoir une deuxième paire d’escarpins avec laquelle m’amuser.
Depuis longtemps Pedro, son mari, lui demandait de faire l’amour avec un gars plus jeune devant lui. Cet homme, qui est très vicieux et pervers, est devenu autoritaire en l’imposant des jeux très érotiques L’idée l’excitait en pensée mais il avait peur de franchir la ligne, de vraiment réaliser ce fantasme. et j’ai accepté d’être sa salope soumise.
– Ça t’excite de faire baiser ta petite femme par un autre on dirait !
-Hummm hoo oui ma chérie ! -On verra bien mon chéri, j’ai tellement envie de nouveauté !
– Puis, un type a sorti sa queue dure et tendue, il s’ approche et lui fourre dans le con !-Elle couine plus fort humm ouiiii !!!
– Tu aimes ça Juju ?
– Préparer une serviette éponge pour mettre sur le siège car ma femme s’était bien fait remplir!
J’ai pratiqué très vite l’éjaculation faciale et sur le corps, j’ai encaissé les insultes, les pénétrations viriles, les fessées et la sodomie. e je me promène sans culotte sous mes jupes ou robes, y compris très courtes, avec éventuellement des bas, des chaussures à talons hauts, voire des cuissardes ou des bottes Un samedi soir, après avoir pris quelques verres avec lui et qu’on ait discuté de passer à l’acte. Nous nous sommes avoués quelques fantasmes: triolisme avec un homme, soumission soft (pour moi) cocufiage et humiliation pour lui . “Mon mari a été cocu”, j’ai eu plusieurs amants, mais toujours avec son accord. Ça l’excitait beaucoup que je me fasse sauter, et après il se régalait. Lorsqu’on s’est connus, j’étais vierge, il m’a tout appris. Il est très cochon ! J’ai toujours attiré le regard des hommes, même encore maintenant, je suis toujours habillée sexy, court et décolleté, ma poitrine se tient toujours bien.. Le but est de me livrer offerte à des hommes vicieux et pervers, que je passe des journées entières, des nuits et éventuellement des week-ends avec eux, afin de subir leurs vices.
– OK, tu veux qu’on le fasse ? Laisse moi me préparer et on va sortir. J´en choisisse un, qu’il soit âgé entre 18 et 25 ans et si mon mari était à l’aise avec mon choix, je devais flirter avec lui. Mon mari se tiendrait un peu à l’écart..
J’avais environ 30 ans lorsque je me suis fait draguer par un homme du même âge que moi. Au bout de quelques semaines, j’ai dit à mon mari que j’aimerais essayer avec lui pour voir. Avec son accord, je l’ai donc invité à venir prendre le café un après-midi chez moi. J’étais habillée sexy, grand décolleté, jupe courte ouverte devant, bas noirs, hauts talons, légèrement maquillée. Mon époux m’a dit que j’étais très bandante. Il m’a fait un bisou, a mis un doigt dans ma culotte, j’avais déjà la chatte humide, il m’a lancé : « Amuse-toi bien! » et il est parti travailler. Assise sur le bord du lit, lui debout devant moi, je le branlais et le suçais, il me caressait les cheveux. Au bout de quelques minutes, il s’est mis à genoux, la tête entre mes cuisses largement ouvertes, sa langue dans ma fente. Il léchait l’intérieur de ma chatte toute mouillée, et m’aspirait le clito. Il m’a mis un doigt, puis deux, dans le vagin. Mes mains appuyaient sur sa tête pour qu’il insiste sur le clitoris. Il me mangeait la chatte et me caressait le bout des seins. Il s’est allongé sur le lit, m’a dit de me mettre en 69 sur lui, il me bouffait le cul, mon jus coulait dans sa bouche… J’ai eu un premier orgasme.
Il aimait boire ma mouille… En même temps, je le branlais et le suçais, sa queue était de plus en plus dure, je me frottais la touffe sur sa figure, je sentais que j’allais jouir… Il m’a mis un doigt dans le petit trou. J’ai eu un deuxième orgasme dans sa bouche, sa langue bien au fond pour bien aspirer ma liqueur. J’ai changé de position et je me suis empalée sur son membre bien raide. Mouillée comme j’étais, c’est entré tout seul. J’avais sa queue bien au fond de ma chatte, assise sur lui. J’ai commencé mes mouvements du bassin d’avant en arrière, de haut en bas, je montais pour presque laisser sortir sa queue, son gros gland juste à l’entrée de ma chatte, je la faisais aller et venir entre mes lèvres et je me laissais descendre sur sa tige bien raide. Au bout d’un long moment, j’ai senti que j’allais jouir, j’ai frotté mon clito sur lui et hop, troisième orgasme !
Je suis restée allongée sur lui. On s’embrassait, il était toujours planté en moi. On s’est mis sur le côté, puis sur le dos. Il était sur moi, il a pris un oreiller, l’a calé sous mon cul pour bien me pénétrer à fond. Je lui disais de bien me baiser plus fort, j’avais mes pieds sur son dos, mes mains sur ses fesses pour suivre la cadence de ses coups de reins… J’étais comme folle, je criais : « Plus fort ! » Et au bout d’un bon moment de ce traitement, un quatrième orgasme ! Il m’a laissé reprendre mes esprits, et m’a fait mettre en levrette. Il bandait toujours autant, il a remis sa bite dans ma chatte, j’en voulais encore. Il me tenait par les hanches, me tirait à lui, sa queue au fond de mon vagin, de plus en plus vite.
Au bout de quinze ou vingt minutes, je lui ai dit : « Je vais jouir ! » Il m’a mis un doigt dans le cul et a crié : « Moi aussi ! » Il a déchargé au fond de ma chatte et j’ai eu mon cinquième orgasme. Cela faisait deux heures trente qu’il me baisait. C’était incroyable l’endurance qu’il avait ! J’étais allongée sur le lit, je sentais sa queue qui débandait. Nous étions en sueur quand il a retiré son engin de ma chatte. J’ai bien serré les cuisses. J’ai remis ma culotte aussitôt, pour ne rien perdre de ce nectar pour son mari.
André est parti en me proposant de les revoir. On a pris l’habitude de se retrouver deux après-midi par semaine. Cela a duré vingt ans, avec l’accord de mon mari. Lorsque Jean rentrait du travail, je lui racontais tout, je ne me lavais pas. Dans la chambre, ça sentait le cul et la sueur. Le lit était défait. Jean m’embrassait à pleine bouche, sur moi il y avait encore l’odeur de mon amant. Il me léchait partout, les seins, les aisselles, les pieds, les cuisses, suçait ma culotte, l’endroit et l’envers, mes poils tout collés de sperme… Il lui dévorait la chatte, faisant ma toilette avec sa langue jusqu’au trou du cul pour bien récupérer ce qui avait coulé dans ma raie, il était tout excité ! Il me pénétrait en me disant qu’il m’aimait et que je pouvais me faire sauter autant que j’en avais envie. Après quelques va-et-vient, il déchargeait car il était beaucoup moins endurant qu’André ce dernier a été mon amant pendant toutes ces années. C’était lui qui me faisait jouir.
Quinze minutes après, mon amant, André, est arrivé. Il m’a dit que j’étais très belle. On s’est tout de suite embrassés. Nos langues se mélangeaient, ses doigts caressaient mon dos sous mon petit pull, je n’avais pas mis de soutien-gorge, une de ses mains était entre mes cuisses que j’écartais pour lui laisser le passage. Il fouillait dans mes poils, je mouillais déjà, je sentais la grosse bosse dans son pantalon. Alors j’ai sorti le diable de sa boîte, j’ai trouvé une belle queue, plus longue que celle de mon mari, mais un peu plus fine et avec un gros gland. Nous sommes allés dans ma chambre, nous avons fini de nous dévêtir.
Alors ils entraient dans un bar, loin de chez nous pour ne pas être reconnu. Ils entrent séparément. Je suis assise au bar et mon mari reste debout assez loin pour que personne ne croie que nous nous connaissons. Ce n’est pas très long avant que je me fasse remarquer. Quelques hommes me parlent mais pas dans la bonne tranche d’âge. Soudain je vois un petit groupe de jeunes garçons qui me regarde mais n’ose pas venir me parler. Il y en a un qui me plaît particulièrement. Il semble si jeune que je me demande même s’il a l’âge d’être ici. Il est musclé, a des beaux yeux verts, des cheveux frisés et est plus discret que les autres quand il me regarde. Ça me plaît. Je fais signe à mon mari que ce jeune me plaît. Patrick, mon mari, me fait signe que ça va. Alors je vais aux toilettes et en passant près des gars je souris à ce jeune homme. En sortant de la salle de bain je vois les jeunes garçons qui se sont placés plus près d’où je suis assise. J´ai pensé qui je je branle, que je suce et qui me baise brutalement… Au début, je n’aimais pas beaucoup cela, mais j’ai commencé à y prendre goût et l’idée m’excitait de plus en plus. Après un verre tranquille, une série de slows commença. Mon mari n’avait pas envie de danser et je fus très rapidement invitée par un homme d’environ 25 ans. Il était très galant. Mais la fin du slow arriva et il me demanda de continuer la série. Elle lui répondis oui. A ce moment, il commença à se rapprocher et elle sentait sa virilité durcir, puis il glissa sa jambe entre les miennes. Elle a commencé,suite à ces fantasmes de cocufiage à l’appeler cocu.
Mon futur amant d’un soir me sourit et me dit : « Bonsoir Madame. Mon nom est Xavier »
Moi :« Bonsoir Xavier. Mon nom est Josée. Tu sembles un peu jeune pour être ici. »
Alors il me dit qu’il a 19 ans et qu’il me trouve très sexy. Je finis par accepter d’aller danser un « slow » avec lui. Il reste gentleman. C’est même moi qui ose franchir la ligne. Je le regarde dans les yeux et l’embrasse sur la bouche. Je glisse ma langue dans sa bouche et il fait pareil. Après le « slow » il me suit au bar et on discute en prenant un verre. Je lui explique le plan de mon mari et moi. Je fais signe à mon mari de venir nous rejoindre. Xavier n’en croit pas ses oreilles. Patrick,mon mari, lui confirme que c’est vrai et qu’il n’a rien à craindre.
Tout en discutant nous apprenons que Xavier est puceau. Il est si gêné avec les filles qu’il n’a jamais fait l’amour. Patrick et moi avions prévu les condoms mais là c’est différent. En plus j’aurais la chance de me faire prendre sans condoms ! J’étais doublement excitée.
Patrick va louer une chambre d’hôtel et revient.
Dans l’auto je m’assois derrière avec Xavier. Je prend son bras et dirige sa main vers mon entre-cuisses. Je suis mouillée. Nous arrivons dans la chambre. J’en peux plus. Je le fais asseoir sur le bord du lit et sors son pénis. Patrick va s’asseoir dans un coin de la chambre pour ne pas intimider Xavier. Quand elle voit la taille du sexe de Xavier elle s´était impressionnée. Je suce Xavier et rapidement je le sens au bord de l’orgasme. J’ai tellement envie de le goûter que je n’arrête pas. Je le laisse éjaculer dans ma bouche. Il se sent mal à l’aise mais je sais qu’a cet âge il va redevenir dur rapidement. Il n’a même pas débandé! Je me suis allongé sur le lit et lui ai demandé de lui prendre fort. Il est venu par dessus moi et j’ai senti ce jeune pénis me pénétrer d’un seul coup. Nous avons recommencé toute la nuit. Patrick est venue nous rejoindre vers la fin et j’ai vécu sa première double pénétration. Ce fut extraordinaire !
Fin
Ivan Ribeiro Lagos