Salopes dangereuses – 2

By | 9 de avril, 2023

Ça y est, on est installés, Michelle venait de fêter mes vingt-neuf ans. Très svelte, des jambes splendides, une taille de guêpe, un buste divin, un fin visage encadré de soyeuses mèches brunes naturellement bouclées, elle capte les attentions qui s’enflamment vite de désir Il y a encore pas mal de choses à faire, Paris ne s’est pas construit en un jour, leur maison non plus. Au printemps, le jardin est engazonné et la maison rangée. Avec les beaux jours, la famille et les amis « descendent » les voir et découvrir notre nouveau cadre de vie. Étant enfin en harmonie avec son corps, elle l’explorait sous la douche ou sous les draps, et découvrais qu’il pouvait m’apporter beaucoup de plaisir. Très tôt, sa mère l’avait expliqué comment fonctionnait le corps féminin, puis celui des hommes et elle vérifiait par elle-même toutes les possibilités que son sexe pouvait lui donner.

– Ils sont passé as chanson préférées au bar. J´avais bu trop de tequila et… je ne savais plus où j´em étais…
– Alors, finalement, je ne suis pas si mal tout nu?
– Merci. C´est pour moi.
– C´est la moindre des choses, vu ce que ton psy a dû te coûter.
– On devait réessayer. Je parle d´aller danser et boire un verre. Le reste tien… Au destin..
– Ce sera abusé. Le pauvre a fait de son mieux.
– Je file.
– Apelle-moi quand tu veux, dit Charles.

Un simple regard échangé, et Charles a lâché une petite grimace avant de s’éloigner. Il l’adore, Michelle était torride, voluptueuse, gourmande et certain jour, totalement nymphomane. Belle à damner un saint, un corps de statue, et un tempérament de feu. Elle ressemblait énormément à une actrice américaine, Elle était très belle, sans pourtant posséder la beauté glacée de certaines femmes. Ses pommettes trop marquées, son nez, un rien trop large, comme son menton un brin trop puissant, lui donnaient un charme ravageur.
Alors michelle a entre dans le bureau du ministre de la justice: Et c’est justement parce qu’elle est nue sous ses vêtements, que ma compagne ne cesse de bougonner. Légère robe blanche, imprimée de motifs de couleurs vives, allant du rouge orangé, au violet. Décolleté rond assez large, dévoilant un peu plus que la naissance de ses seins, et le tissu de sa robe s’arrêtent à mi-cuisses. Elle est superbe. Il fait un temps magnifique et une chaleur étouffante. Parce que pour les Bretons, 25° est étouffant et 27° proche de la canicule.

–  Ce sera encore plus excitant pour moi, et d’éventuels voyeurs. Tu exhiberas donc tes beaux seins de salope. C’est parfait! Les toalettes, c´est le deuxième porte à droite, dit le minister.
– Je suis Michelle.
–   Tes tétons vont crever le lin, ma belle !Je peut t´aider?
– Avec 200.000 dolares. C´n´est pas rien pour un type blindé comme toi.

Et Michelle se mord les lèvres. Chloé se mordant les lèvres, est signe de nervosité, de grande tension, ou de plaisir intense. Un sacré mélange, cette fois.

– Et je devrais te les donner parce que tu e nièce de ma Femme?
Non. Pour éviter que je foute t avie em l´air em parlant.
– Je vois. J´ignores à quoi tu joues, Michelle, mais tu ne sais pas qui je suis.
– Je sais très bien qui tu es, mec. Un fil de pute fini.
–  Vous êtes une vraie beauté, madame. A quuoi tu joues? Tu me filmes? Qu´est-ce censé signifier?
– Que l´honorable monistre de la justice baisait as belle-seur que sa Femme était enceinte. Dingur, non? Deux cen mil.
– Et le secret reste entre nous..C´est pêut être un goûte hereditaire.
– C´est donc pour ça que vous êtes au Méxique pour me faire chanter.
– Non… Maman ignore que je suis au courant.
– Bien sûr, tu me prends pour un con.
– Sa version à elle, qu´elle m´a eue avec un type rencontré dans un bar. Elle t´a couverte pendant 25 ans, ecrire ses aveux c´est dangereux Simão.
– Une lettre ne prouve pas que je suis ton père.
– Ma mère ne serais pas allée galérer à Monterey et n´aurait pas erré jusqu´aux Canaries, si son beau-frère ne l´eveit pas engrossée.Je parie qu´on a la même tache.On peut faire un test ADN, si tu veux.Mais bien sûr ça, pourrait se savoir. Dis-toi que tu as de la chance.
– De la chance?
– Que ta fille cachée n´ait aucune envie de te revoir. Si j´était um peu plus salope, ce serait une autre histoire., Em te remerciant.
– Tu m´as caché que tu voyais ma soeur.Ne nie pas, elle ne m´a raconté, elle-même.
– Elle regrette notre separation. Ça fais deux mois.Qu´elle comprenne que vous ne póuvez pas vous remettre ensemble.
-Simão tu m´écutes?
– C´est quoi ton pronlème?
– J´en ai marre de ces rendez-vous secrets!
– Sutout maintenant que… Pourquoi me l´avoir caché?

Dans le combate à prostituition la police avait mené toute les putes du cabaré  arrêtés.
– Ils ont arrêté tout ela bande, mais le type e Cancún a negocie et sa peine a été réduite.
– A ton avis, il sait que tu l´as dénoncé?
– Je ne suis pas sûre, mais je ne peux courir ce risque, dit Charles.
– Tu reste pour le mariage?
– Le mariage de qui? Ce n´est pas une boné idée.
– Oubliez-vous. Je trouve aussi, mais qui peut le faire changer d´avis?
Un baiser langoureux, puissant, envahissant,elle veut baiser avec Charles  qui a fait fondre ses dernières résistances. Fascinée par cette perspective et n’ayant aucun sujet tabou avec son amant, Se balader sans culotte? Oui, bien sûr que ça se fait… Faut juste savoir dans quoi on met les pieds et être prête à assumer les conséquences de ses actes. Elle avait fini par lui en parler.
Michelle a toujours été extrêmement vorace sur le plan sexuel. Elle ne s’en est jamais cachée et je n’ai jamais eu à m’en plaindre, étant moi-même très vicieux de nature. Michelle pense au sexe quasiment en permanence. À ce niveau-là, on pourrait presque dire que c’est une maladie.

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– J´ai une curiosité. L’une des clefs de notre bonheur est que notre vie intime a toujours été pimentée de nouvelles expériences.
– Quoi.  Que dirais-tu d’allumer un homme devant moi?
– Est aller à un cine pornô. j’ai envie d’approfondir mon jeu avec lui.
– Super. Je suis un peu voyeur aussi, N’oublie pas : ici, personne ne te connaît et c’est comme ta manie de te balader cul nu . Alors je suis bissexual et je prends goût à sucer de belles queues.

Avec ce climat caniculaire en début d’été, les vieilles habitudes de protection à l’ardeur du soleil sont vite reprises. Les plantes de la terrasse sont rentrées dans la cuisine. Les volets et les stores sont tirés, plongeant les pièces dans une demi-obscurité. Les tapis sont enlevés pour faciliter le refroidissement du sol. Les ventilateurs brassent l’air chaud et humide. Le chien est au frais sous les branches d’un arbuste, le ventre sur le gazon. Par conviction écologique, ma femme, Michelle, est opposée à l’installation d’un système de climatisation dans la maison. Juillet sera un mois difficile à supporter si la forte chaleur persiste. Pour chasser la torpeur d’un après-midi estival, Charles propose à Michelle d’aller ensemble au cinéma, ce qui nous permettra de bénéficier de deux bonnes heures d’air climatisé. Ma femme feuillette la page des spectacles du journal et jette son dévolu sur un film récent intitulé Cinquante nuances de Grey.

La nuit a été chaude, très chaude. Situation rarissime, mais cet après-midi, Il y a des gens dans la vie qui vous épatent, qui vous font passer des moments que vous n’oublierez jamais ; vous le savez dès l’instant où vous le vivez. Michelle est libre comme l’air, sans engagement conjugal, libre de vaquer et de rêver, de se promener ! Toujours attentive à son allure distinguée, sans excès, mais élégante et un peu classique, elle prend le temps de se préparer à sortir en ville pour y faire un peu de lèche-vitrine, sans but précis. Apercevant par sa fenêtre, les nuages menaçants, Le contraste entre le teint si blanchâtre de ce qu’il révèle de sa charmante poitrine, d’un côté, emmitouflée dans des flots de fine dentelle et du teint rosissant de son visage, trahit un bronzage bien pudique.elle enfile un léger imperméable sur sa robe droite, sous laquelle elle a pris plaisir à enfiler des sous-vêtements un peu coquins.

- Allons-y, ma chérie, allons faire voir au monde entier combien tu es magnifique et rayonnante!
–  Gros idiot, va!

Les rayons du soleil qui viennent nous réchauffer la peau, la caresse du vent dans les cheveux. Seule compte l’aisance qui est la sienne de se sentir presque peu habillée sous sa robe, le haut de ses cuisses dénudé par les bas autofixants qu’elle apprécie toujours.

- Je me suis offert mon petit bébé…
- De quoi as-tu rêvé, mon trésor?
- Rêver? Je n’en ai pas eu le temps !
- Eh bien, moi, si! Mais, vois-tu, ma chère petite allumeuse, on peut aller un peu plus loin…
– Bonne idée! Oooh! Tu oses faire ça?
- Bien sûr que oui…
- Gros cochon!
- Ça te plaît, mon gros salopard?
–  Il y a des questions qu’on ne devrait jamais poser, petite dévergondée!

Ils arrivent bientôt sur le grand parking. Il constate que la robe de Michelle est peut-être un peu fine et légère. Michelle une grande brune au sourire timide. c’était devenue une déesse de sexe sans complexe, une adorable cochonne, une gourmande de première. Cet effet disparaît quand elle traverse une zone d’ombre. ll se dit que le soleil révèle parfois bien de choses pour la personne qui a le bon angle. Comme elle porte des bas noirs à dentelles, ses blanches fesses sont bien mises en évidence, d’autant que son cul est magnifiquement rondouillet. Elle portait une robe courte et moulante, et des talons hauts.  Une parfaite salope. Elle déteste être mal placée. En général, mais particulièrement au cinéma. Ce qu’elle aime, c’est les premiers rangs, pour être la première à capter la lumière, la première à voir le film, à l’entendre. Mais aujourd’hui, elle déroge à la règle, sa règle, pour en suivre une autre, venue de l’extérieur.

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Devant le cinéma, en attendant d’entrer dans la salle, La tension était palpable. Ni l’un ni l’autre n’avait la moindre idée de ce qui allait se passer Elle sentait le regard des hommes se poser sur elle . Charles ne peut s’empêcher de demander :

- Tu as vu qui c’est?
–  Non? Qui ça?
- La boutique. C’est Jacquie et Michel, le célèbre cine érotique.
– Tu connais ça, toi?
– Une soirée ciné coquine leur plaisait bien.

Au cinéma, elle s’assied, bien sûr, La salle est agréablement climatisée, et encore éclairée puis… Salle obscure, odeur curieuse, un grand écran avec un couple qui baise, des fauteuils douteux… Ils prendent place au fond de la salle, dans une rangée vide, histoire d’être tranquille.  Le public arrive peu à peu. Son imperméable déposé sur le fauteuil d’à côté, Michelle s’est assise, jambes croisées, elle ne s’en préoccupe pas plus que ça, si elle tourne la tête sans arrêt, c’est qu´elle a envie de voir tour à tour ses deux cavaliers. Charles se dit qu’elle n’avait pas dû apprécier son audace aussi Charles lui avait répondu en lui faisant un clin d’œil commesigne vert. Un homme venait de s’asseoir à sa droite. Dès les premières images, un homme et une femme nus se masturbent mutuellement, sensuellement. Les images sont crues, mais poétiques.
Asseyez-vous, je vais tout vous raconter. Au fond, c’est assez simple.
Au bout de quelques instants, se sachant sans doute observée, Michelle croise, décroise ses belles jambes gainées de noir. Elle guette le désir dans leurs yeux qui se posent sur elle. Sans se vanter, Elle croit bien le trouver, ce désir, et elle se délecte par avance de ses effets. Mais les plaisirs charnels viendront plus tard dans la soirée, pour le moment, place au spectacle, la lumière baisse et le film commence. lequel pourra apprécier dans la pénombre, le dessin séduisant de ses mollets et de ses chevilles. Cela scintillait avec les faibles lumières de la salle de cinéma. Ill remarquai que Michelle ouvrait ses jambes de plus en plus, elle se contorsionnait pour, sans y paraître, remonter sa robe sur sa taille.
- Arrête! J’ai l’impression que mon voisin est en train de se branler!Il exhibe une grosse bite bien dure. Tu as bien fait une touche! T’as vu comme il bande?
– J’ai remarqué… Que pensez-vous de cette queue, ma chère ?
– Euh… elle est belle, je l’avoue…Une bite comme ça! Si, je te jure  Enorme!
- Elle aime ça, les grosses bites?
- Elle adore ça!
- Tu veux bien qu’il regarde? me demande mon amant en caressant mes cheveux.
- Oui, laisse-le faire. Il est sûrement déjà très chaud!  Je vais le sucer la queue, je vais la lécher, la prendre dans ma bouche en te caressant les couilles, je vais le tailler la pipe du siècle, Il ne va pas le regretter.

Il veux en avoir le cœur net, alors elle regarde attentivement. Oui, la menue main de sa femme est en train de branler une grosse queue bien raide! Il constate que son comparse en a une plus grosse que sienne. Elle ressentit un pincement au cœur au moment où sa main entra en contact avec le membre viril. Elle l’avait fait. Elle avait osé. Elle le sentit brûlant en l’empoignant de sa main glacée par la climatisation. Il était déjà très dur. L’odeur du sexe était prenante, tenace, mais terriblement érotique.

– Envie de ta verge dans ma bouche maintenant… Couche-toi, laisse-moi faire. Te sucer, te lécher, monter descendre sur cette queue si dure et si belle, si offerte. Pour ma bouche, pour mes doigts, dit elle au inconnu.
–  Eh bien, petite cochonne, on dirait que sa grosse queue m’excite bien! J’ai envie de toi, de ton sperme, de ta semence, de ton jus, de ton élixir. Avaler tout ton foutre…
–  C’est pas toi qui en as une pareille ! me répond-elle aussitôt d’une voix curieusement sensuelle et vicieuse.

Alors, sans complexe, lui tournant à présent le dos, sa femme fait face à son voisin, et de son autre main, elle continue le travail commencé. L’excitation la désinhiba. Elle commença à branler l’inconnu. Durant ce temps, l’homme a les yeux rivés dans le décolleté de Michelle, voyant deux belles rondeurs légèrement gélatineuses s’agiter en duo sous le rythme de cette branlette expérimentée!

- Très bien! Oui, continue comme ça, petite gourgandine.
- Tout ça, ça m’a excitée ! Et toi aussi, à ce que je vois!
- Oh, juste un peu…

Elle connaît sa capacité à séduire de tels hommes et ses nombreuses réussites dans ce domaine, lors de ses sorties en club libertin avec son amant, la rassure quant à sa possibilité de maîtriser la situation. L’épisode a tellement remué la femme qu’elle a décroisé ses jambes et, presque involontairement, elle les a écartées de telle sorte qu’elle ressent l’air passé sous sa robe remonter sur ses cuisses. Son voisin a remarqué ce changement de position et, toujours aussi discrètement, il y dirige une main curieuse, alors que, de l’autre, il a conservé la main de sa voisine qu’il vient de lécher et la dépose sur son propre bas ventre.

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- Mais qu’est-ce que tu fais, tu es fou, Je suis trempée, mon minou n’en peut plus. lui souffla-t-elle à l’oreille.
- Tais-toi et baise, J’adore quand ta chatte est grande ouverte et toute brillante, lui répondit-il.

elle avait envie de baiser avec lui, de baiser vraiment, totalement. Il avançait maintenant son bassin vers elle, se branlant d’une main et caressant de l’autre ses couilles, qu’il avait prestement extirpées de son slip.

- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Il a mis sa main sous ma robe!
- N’aie pas peur, il ne veut pas te faire de mal. Détends-toi!  Soulève-toi un peu.
–  Chéri, mon amour, il va me prendre.
- Je t’aime mon amour, n’ai pas honte du plaisir que tu as. Je suis avec toi.

Deux grosses boules pleines, à la mesure du reste. Charles aussi il avait maintenant une érection pas possible et surtout, je regardait, fasciné, le visage troublé de son amante, tourné vers la enorme verge offerte à sa vue.

–  Baises-la. Prends-la devant nous, c’est trop beau.
-  Qu’elle est grosse et dure Elle t’a fait mal?
–  Un peu. Il y est vraiment allé de bon cœur.
- Tu as eu l’air d’apprécier qu’il te fasse l’amour.

Il a pris sa femme par les hanches. J’ai eu peur, du coup : n’allait-il pas la déchirer ? Comment un engin pareil allait-il pouvoir entrer dans sa petite chatte juteuse ? Ca ne semblait pourtant pas être une inquiétude pour ma chérie. Au contraire, même : il me sembla qu’elle s’était cambrée davantage, pour accueillir plus aisément l’énorme biroute ! J’ai alors vu avec trouble l’engin écarter les lèvres gonflées du minou de ma cochonne d’épouse. J’ai failli crier!

–  C’est pas possible! Tu vas la déchirer!

Mais en même temps, je regardais avec fascination la lente mais certaine progression de la grosse queue dans l’étroit fourreau de ma chérie. Sa chatte gourmande s’offrait sans remord à la pénétration monstrueus ! Elle hurlait sans retenue maintenant.

- Oh oui, c’est bon, trop bon!
– Tu aimes, mon amour?
- Oui !!!!!!!!!!!!!!!!
– Que c’est bon, je n’en peux plus, je vais t’inonder.

Charles n’aurais jamais cru la chose possible: il la fourrait avec une facilité surprenante! Son vagin élastique acceptait sans difficulté l’étonnante pénétration. Ses mains crispées sur les hanches voluptueuses de son épouse, il s’enfonçait pratiquement tout entier. De son côté, à voir sa femme ainsi baisée, à l’entendre ainsi hurler son plaisir, je prenais un pied fou. Il Se branlaiT comme un forcené. Il encourageait l´homme de la voix.
–  Vas-y, baise-la bien! Défonce-la!
Charles stimulait sa femme aussi, la traitant de salope, de chienne. Il se délectait à observer ainsi l’étonnante colonne de chair coulisser lentement, s’enfonçant d’abord, puis ressurgissant d’entre les lèvres enflées de sa chatte. Il la pénètre doucement… elle frémit. Le pubis du gars, maintenant, claquait régulièrement contre les fesses de son épouse adorée.

- Mon Amour, il me remplit complètement, il touche la fond de mon chatte! C’est bon!
- Vas-y mon Amour, vas-y, fait le jouir, prends ton pied, je te regarde, tu es belle .

Les cris allaient crescendo. De multiples orgasmes semblaient secouer sa femme. Soudain, l’un d’eux, sans doute terrible, l’a secouée toute entière. Elle sembla trembler de tout son corps. Elle poussa un cri d’extase, comme une déchirure de tout son être. Il a essayé de glisser sa bite dans sa bouche, mais au contact seul de ses lèvres, Il éjaculait! Lui aussi semblait s’être laissé aller à jouir.

– Tu restes comme tu es, ma jolie, le cul plein de sperm.e
- Ça t’a plu?
- C’était parfait! Laisse-moi la sucer,  J’ai très envie de te prendre dans ma bouche tu sais… Demanda Charles le mari.

Charles s´agenouille et il tire le preservatif et Charles la prend avec sa bouche et la léche avidement.

- Ta petite pupute, assoiffée de ta bite. Vas-y, fais-moi jouir. Laisse-la bien dure que je vais t´enculer. Tu veux que je t’encule, petite garce?
– Oh oui ! Je le veux! J’ai trop envie, viens en moi, maintenant…
–  Et pourquoi tu veux que je t’encule?
–  Parce que je suis une salope, une putecomme ma femme qui adore ça!  Fous-la-moi dans le cul! J ai envie que tu m’encules! J’ai envie de sentir ta bite me défoncer le cul .

Alors il s’enfonce petit à petit dans son rectum par divers va-et-vient. Dieu que c’est bon ! C’est chaud, c’est extra, c’est étroit juste comme il faut ! Michelle reste, bouche bée, incapable de détacher son regard. Oui, enculer une pédé, c’est franchement une expérience à vivre.
– Continue !! Ne t’arrête PAAAAAAAAAS… !!!!!!!!! ”ohhhh ouiiii c’est boooon… continues…”
–  Putain c’est trop bon, je vais t’en mettre jusque couilles!
Ses gémissements lui rendaient fou. Il jouit dans un cri à déchirer les cieux. Michelle… Hypnotisé par ce spectacle, j’entraperçois une excitation en perler, alors que des gouttes de sueurs glissent sur les cuisses et rendent ses jambes, son ventre, ses flancs, luisants.

Fin
Ivan Ribeiro Lagos

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