Un
Le blé, l´oseille, les radis.Le pognon, les billets, le flic. La thune. Les biftons, l´argent. Ce qui separe les riches des pauvres. Pas um touriste, um badaud, um promeneur qui ne soit accoster par des étranger, il faut bien led ire la plupart du temps, des ressortissants des pays du Nord de l´Afrique em situation irrégulière. Ils peoposent leur merchandise, leur Poisson: canabis et héroine, votre cocaïne au grand chef du commerve voisins ed des passants de toutr nature.
– Mais qu´est-ce que l´argent? Quando en manque, c´est tout.
Aux ètats-Unis, la moitié des adultes ont plus de dettes que d´épargne. Un quart n´ont aucune épagne. Seul 15% de la population sont en mesure de financer une seule année de retraite. Elle est court de mots car pendant uns instant elle fut sûre d´avoir commus uen erreur.La secion de estupefiants deviant une brigades part entiere avec as hiérarchie, ses effectifs, son material. Le ministério de l´intérieur lui confie le monopole de la repression du trafic de drogues sur le département de la Riviera, vaste circunscription, comprenant le centre ville et periferia. À l´époque certe cinsconcription est complètement débordée par l´ampleur du phénomeno.
– Qu´est-ce que ça veut dire? Que la classe moyenne disparaître. Quel le rêve américaine est mort.
– Vous ne reiez pas là à m´écouter si s´était vrai.Simplement je pense que les gens ont une vision erronée de l´argent. N´est-ce qu´une unité d´échange pour de biens et services?
– Un dólar de litre de lait? Trente dollars pour tondre la pelouse? Qu´est-ce quelque chose d´immaterial? J´ai une autre preposition. L´argent est une unidade de mesure.
La secuté financière ou le bonheur. La tranquilité. Ce que nous gagnons pas du président, de l´economie, des bulles qui éclatent, de la malchance ou des patrons. Mais notre éthique professionnelle qui a faitde nous le plus grand pays au monde. Il suffit d´ignorer l´image que les médias donnent d´un bon parente.De choisir de rater un match, une pièce, un concert, pour travailler et investir dans l´avenir de sa famille, d´assumer les conséquences de ces actes. Au fond, qu´est-ce qu´ils ont en comum?
Ils dependente d´un choix. L´argent, ce n´est pas la tranquilité.L´argent n´est pas le bonheur.L´argent, au fond, est-ce qui mesure les indécision d´un homme. Très bien. Facil dire. Quand un policier infiltré se fait passer pour un toxicoomane. Il ne va pas très lonin dans son travail. Au plus il achète une dode de héroïne, une barrete de hasxiche à un revendedor. Lui même tocoxicomane aussi pouillex que lui aussi minable d´apparence.
– On commence tout juste à rencontrer des conseillers financiers.
– Bien sûr. Vous faites preuve de prudence.
– M. Baron.
– Appelez-moi Mario.
– Mario, on ne sý connaît pas tellement em actions et investissements.
– Moi, si, mais je n´ai pas le temps de faire des recherrches.
– On voudrais être à l´aise avec celui qui o dccupe de notre l´argent.]
– Dites moi, quel sont vod projets, finacièrement?
– Vous avez um projet pour les cinq ans à venir?
– Dans l´idéal, on aimerait aménager notre sous-sol, et on voudrais une piscine.
– Non, pas de piscine. Une piscine, c´est complique.
– Mais si. C´est dur de recrouver son investissement au moment de la vente.
– Es-ce n´est pas um bom invesrissement.
– On a rendez-vous à 16 h.
– on par dans 10 minutes?
– Oui, je te presente M. et Mme Moreira.- Bonjour… Voici Mario Lorettide Lider & Banner.
– Ils cherchent um conselher financier.
– Tu ne leur as pas dit?
– Nous representons 73 % de l´équipe chirurgicale de Nova Resende.
– Oui, c´est notre divise.Pour cette raison nous n´acceptons aucun nouveau cliente.
Eduardo João a um bureau sur Aparecida de Goiana. Il paraît qu´ils sont pas mal.
Mario, dit-moi si c´est trop tard, Vous pouviez ouvir um compte aujourd´hui avec um dépôt de 5000 $, Soit par cheque, soit par carte de crédit.
– D. accord. Par cheque.
– Parfait.- J´ai été enchanté. Mario, je t´attends dans la voiture.
En pleine centre, et l´architecture est magnifique. Il est la première à le faire visite. Vous allez adorer. Il donne sur la rivière De Nova Iguaçu, il y a des possibilites d´extension.À leur place fleuri une Generation spontané de petits proxénètes, des julots ”Casse-croute” Suveillant tant bien que mal leurs protégees, sutout pour assurer leur argent de poche, les fins de mois en quelque sorte. Dans les pages qui vont suivre prostituées et proxénètes
Fournissant le plus grosses troupes d´informateurs là encore.
– C´est parfait ma puce. Le bail est…
– Pas au travail.
– J´adore que tu impose des règles. Encore hereux, Mario, qu´em penses-tu? Il te plaît.
-Te voilà, Tu sais pouqou tout le mondeme dévisage?
Ils croyent que vous l´avez tué.
– il croyent que j´ai tué boby Dean, genial.
– Oui. C´est fats quim´em a parle quand j´achetais des clopses.
– Fats.
– Vous savez, ke vendeur d´alcool.Si vous êtes um assassin, je suis blanche-neige pas de nains.
– Ruth, j´ai besoin que tu supervises les choses um petit moment.
– Tu peu faire ça? Superviseur?
– On va être blinder aussi, ici.
– Je te payeai em conséquence. Si tu as des questions appelle-moi.
– Il est très joli.
– Juste joli? Mon bureau est par Lá. Le tien par là. On a vingt employés.
– réceptionnistes.
– Que genre de fenêtre, transparente.
– Je ne sais pas.
– Il es orienté au sud? Em fonction de leur performance énergértique, la facture de climatisation sera 15 à 20 % plus élevée en été.
– On doit prendre ça em compte.
– Tu n´a pas de clientes à appeler? Martin et moi, on doit discuter, Il fait le com.
– Bien sûr.
– Parfait.
– J´ai vu ton écran d´ordinateur.
– Mario te chope à te masturber devant um pornô amateur. Elle va piquer une crise.
– Où as-tu la tête?
– Vous êtes ensemble depuis 20 ans? Vingt-deux ans.
– Bon sang, ça commence à s´effilocher. C´est long.
– C´est long. Avec Liz…
– Elle est très belle. Elle poirrait réveiller un mort.
– Tu parle de ta future Femme.
– Mario est monmeilleur ami. Et je t´aime, vraiment. Mais t avie est beaucoup trop tranquille.
– Mais je suis um cocu cobcertant, voyeur de la propre épouse.
– On gagne autant, de la voir dans la trump tower pour être baisée.
– Ma voiture va très bien, ey m avie sexuelle aussi.
– Tu es celui qui regarde um pornô amateur dans son bureau.
– Quand est-ce qu tu es senti vraiment heureux?
– Avec as Femme Lize, on ést allés là, le week-end dernier. C´était incroyable. Il y a tout: riches, pauvres, barques, yachts, duplex.
– Des fois, on croit qu´on ne va pas aimer quelque chose, mais quando n essaie, on se rempte compte qu´on s´amuse.
Cependant, ce serait trop bien si tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Devant lui, deux des femmes les plus belles qu’il ait jamais rencontrées papotaient sous ses yeux. Et l’une d’elles, il l’avait baisée. Baisée, et baisée, encore. Et quand il ne la baisait pas, c’était Annabelle Lajoie qui le baisait. Cette femme avait été sa tempête personnelle. Son ouragan. Mais elle avait remarqué que de temps en temps, elle continuait à regarder un beau mec ou un homme charmant. Donc rien n’était perdu, au moins.
Lia se réveille en se redressant dans le lit d’un coup, en sueur. Elle écarquille les yeux et les cligne, autant pour se réveiller que d’étonnement suite au rêve qu’elle vient de faire. Allez, calme-toi, ma vieille, c’était juste un rêve, se dit-elle à elle-même. Mais alors qu’il l’atteint, son regard est attiré par un tout autre spectacle : Lea a écarté largement ses longues jambes, a relevé sa robe à nouveau et sa main est doucement en train de caresser son intimité entièrement lisse. Il sait qu’il devrait se relever, qu’un géant de presque deux mètres plié en deux sous une table au milieu d’un restaurant n’est pas très discret. Mais la voir, comme ça, ostensiblement ouverte pour lui est un pur délice pour les yeux. Et pour son pantalon qu’il sent se tendre. Il se redresse à contrecœur.
– Vous êtes diablement tentatrice, madame, dit-il et lui tendant sa carte.
- Tant mieux, cher monsieur. Tu m’apprends que je suis cocu, que tu m’as trompé depuis plusieurs mois, qu’il est le seul à te faire jouir, - Toujours envie d’un dessert? lui demande-t-il.
– Finalement, non.
– On peut y aller tout de suite si tu veux. Je t’accompagne.
- Non merci, je vais me débrouiller toute seule.
- Parle… Dis-moi quelque chose.
- Que veux-tu que je te dise?
- … Je ne sais pas. Engueule-moi. Traite-moi de salope.
– Ça servirait à quoi ? Tu m’annonces que tu aimes un autre homme,
- Non, c’est toi que j’aime. Avec lui, il n’y a jamais eu de sentiments.
- Jamais de sentiments ? En six mois ? Ce n’était que pour le sexe alors ?
- … oui… enfin… pour le sexe. Je ne l’aime pas.
– Alors, je ne te suffisais pas. Tu avais besoin d’un autre homme pour jouir? Tu simulais avec moi.
– Non…ça n’a rien à voir avec toi.
Sa robe est plutôt courte et décolletée avec des bas autofixants avec une paire de bottes. Elle termine ma préparation en se maquillant de manière assez marquée avec un rouge à lèvres qui me donne une bouche pulpeuse à souhait, et une bonne dose de bleu à paupière.
– Je ne t’ai peut-être jamais donné de plaisir. Combien as-tu eu d’amants?
- Aucun… enfin, c’est le premier, le seul, je te le jure. Tu m’as toujours comblée.
- Le fantasme de voir ta femme dans les bras d’un macho surmembré ne te suffit plus. Voilà maintenant que tu m’imagines suíte par un alpha charismatique débordant de responsabilités.
Tu sais bien que tu as toujours une classe folle, quelle que soit la tenue que tu portes. Mais je pensais que tu serais encore plus magnifique avec des robes et des jupes mettant un peu plus en valeur ton superbe corps. Puis elle la prends en bouche, elle est chaude et poisseuse. elle suce doucement mon amant du jour, puis elle s’active un peu plus. Sa queue frémit de plus en plus, signe évident qu’elle se réanime à nouveau. Peu après, c’est un bâton de berger bien dur qu´elle a en bouche. Au moins un homme qui ne fait pas trop attendre les femmes! Le liquide visqueux remplit sa bouche et commence à couler dans le fond de ma gorge. Être prise pour une pute augmente d’un seul coup son plaisir, et elle aussi, elle jouit malgré la situation assez humiliante, la bouche pleine d’une queue vicelarde, d’un foutre gluant, accroupie devant un homme peu romantique. Sa dépravation, ma perversité à être le docile jouet d’un tel homme…
– Tu es toujours de son côté. Tu ne lui dis jamais rien.
– Je ne suis du ccôté de personne.
– Ça suffit. Oui, j’aime mon mari, mais mon amant attitré et imaginatif m’excite tellement!
– On prendre à zéro?
– Oui.Comment était ta Journée?
– Et toi.
-Je suis aller faire les coursess au supermaché.
– J´ai porte les déchets recyclabes à la benne.
– Tu n´as fait les courses lundi?
Elle avait toujours la beauté comme arme. Il m’a baisée facilement pendant une demi-heure. Ça ne m’est jamais arrivé avec toi, si ?
– Tu n´oublie pas que tu as pris notre flic alors que j´em avait besoin. Tu sais que j´en avait besoin. Et je doute fort que tu aies ça toute seule. Donc mamerie se porte très biem. J´étais là. Tout du long. D´ailleurs le bruit de ton amant qui s´écrase sur le trttoir, C´est la seule chose qui m´aide à dormir.
– Ouvre la porte putain.
– J’adore regarder ses fesses par le jeu des miroirs quand elle porte un jean moulant. Elles sont bien rebondies, sans être trop grosses. Un régal pour les yeux et probablement un délice à caresser, à embrasser…
Son mari est dirigeant d’une entreprise, il a sous ces ordres une cinquantaine de salariés. Ses dernières années, afin d’accroître ses parts de marchés, il a dû obtenir différents agréments. Ces agréments ont été obtenus grâce à l’implication de tous ses salariés, mais surtout de sa directrice administrative, Liza, qui est dans l’entreprise depuis plus longtemps que lui. Elle l’a parlé de son couple, elle n’avait jamais imaginé pouvoir tromper un jour son mari. Pourtant, celui-ci ne pensait qu’à son plaisir. Il la trouvait froide, frigide, dire qu’avec lui c’était la plus sensuelle des femmes. Il la trompait allègrement depuis de nombreuses années, sans vraiment chercher à se cacher. Il a parfois le temps de jeter un œil plus profondément dans son décolleté. Son regard plonge dans son décolleté. Je vois distinctement son soutien-gorge blanc, en dentelle. Le galbe de ses seins est parfait. Il m’est arrivé une fois de tromper ma copine. Mon ex-copine en fait. Cette tromperie était probablement la goutte de trop dans une relation qui ne fonctionnait plus du tout.
C´est une femme que vit as sensualité dsans entraves l´avait-il lancé, par la poupée gonfiable d´un attardé sexuel. Elle a pris un nouvelle amant, Tout a commencé suíte aux confidence qu´une amie l´a faites au sujet d´um endroit qu´elle a frequentée l´année dernière et où elle a vécu des aventures incroyables. Comme elle lui covvaît vraiment bien et qu´elle n´ignorepas qu´elle est Curieuse et un brin audacieuse.
Le contact de son gland sur mes grandes lèvres m’électrisa littéralement. Probablement par anticipation de ce qui allait suivre. Je sentis mes lèvres s’écarter, sensation incroyable, au rythme de la descente qu’il m’imposait. Puis elle sentit sa queue entrer peu à peu dans sa chatte glissante de plaisir. Ouh là là, l’engin mon Dieeeeeu… Mon chéri, je n’ai jamais ressenti une chose pareille, je t’assure. C’était si fort, si fort… Elle sentait son membre s’enfoncer en moi, lentement mais sûrement. À un moment, je le sentis buter au fond de sa chatte… quelle queue, non mais quelle queue!
– C’est à cet instant que je me suis dit que tu étais vraiment cocu, et que ça n’allait pas s’arrêter là.
Depuis je l’imaginais avec un autre homme qu´elle prendre du plaisir à se faire pénétrer par un autre sexe… Oui depuis ce jour ses idées de candaulisme lui hantait la tête, et une soirée en sa compagnie je lui ai fais par de se désir Le désir finit par s’émousser. Sa femme est plutôt forte, grosses fesses, grosses cuisses, mais assez grande et un beau visage de blonde, surtout l’été où ses cheveux blondissent naturellement, de très gros seins, lourds, matures, qui sans le soutien-gorge s’étalent magnifiquement en tombant sur le buste. Elle aime beaucoup ses seins et lui demande de temps en temps de les mettre en valeur. elle ferait un grand plaisir aux voyeurs éventuels qui se masturberaient en la voyant se faire prendre. Et c’est là que ça devient intéressant, passé un certain palier d’excitation, elle se laisse complètement aller,
Un jour en naviguant sur un site d’annonces d’homme libertin il est tombé sur un homme qui se proposait à draguer les épouses en toute discrétion à leur insu, en partant du deal de tout raconter au mari, bingo il le contacte. Lisa a 40ans elle est blonde les yeux bleus avec un corps de jeune femme très mince, de petits seins, des hanches prononcées sous une taille très fine. Après plusieurs messages échangé avec cet homme libertin, IL sont sommes posés autour d’un café dans un bar du centre ville, oui nous habitons dans la même ville par chance, le rapport c’est bien déroulé en plus bel homme charmant et bon style pour sa femme et du même âge et. Leur plan pour une première rencontre s’est déroulé en soirée dans le même bar il devait les rejoindre et par manigence d’être de vieux ami.
Il est complice du trafic de drogue. Vous ne savez pas sveuiler son argent.
– Je n´es pas des idée claires. Enfin, je vais pouvoir sentir une bonne grosse queue m’empaler.
– Quelques mois, j´espère.
-Pouquoi tu mous as dit la vérité?
– Oui monsieur.
– Qu´est-ce que vous voulez boire?
– Um blonde.
– Vour renovez l´hôtel?
– Il Paraît
– Il peut jouer d´autres morceaux, tu sais. Choisit um autre numéro une autre letre.
– Vous me devez um boulot.
– Quoi? Je parle chinois?
Vour me devez um bulot.
– En quel honneur? C´est pas complique
– Vous m´avez fait virer,
– Tu es fait virer.
– En nous cambrioland et en faisant semblante de faire ton travail. Au revoir.
– Je ne repartirai pas sans um rémunéré!
Pioche dans vos 20 000 & pour compléter les allocations.
– Je profite pas des allocs.
– Ah non?
– Tu pourrait bosser n´importe où.
– La saison va commencer. Tout est pris.
Écouté, José. Vous ne croyez pas que c´est toujours une bonne idée.
– Ma fille a dégoté un entretien em deux minutes.
– Elle dois pas avoir casier. Tu en parles avec tant de fierté. De tenir ses ennemis à l´oiel?
– Tu as dis à tes oncles de me tuer, tu te rappelles?
– Mais vous êtes youjour là.
– Oui.
– Ça ne vaut pas mieux de bosser avec quelqu´um qui connaît tous vos secrets?
– à votre place je préférais que quelqu´un comme moi reste dans le coin. Au lieu d´aller raconter des histoires. Sur vos hui millions en liquide. Ça pourrait faire des envieux. Des gens qui voudraient leur part du gâteau. Et au final, résultat, votre argent a disparu, et vous retouve dans le lac avec une ancre attachée autor du torse. En théorie.
– Viens sui-moi.
– On fait quoi?
– Déposa ça.
– Pourquoi?
– Vas-y.
– Parfait.
– Quoi parfait?
– Tu viens de commetre un act de manifeste.
– Ça veut dire quoi?
– Tu vois le caméra: Elle te voit. Et elle t´a vue faire ce dépôt.
– Donc si m´arrête à cause de cet argent, comme tu as déposé l´argent, le FBI verra ça comme um acte manifeste.
– Ça fait de toi um manifest. Ça fait de toi une complice.
– En clair, si je vais em prison, tu iras aussi.
– Donc vous m´embauchez?
– Tu veuz faire la plonge pour le smic, fais donc.
– Aux nouvelles regionales, um habitant d´osage a été blessé.
– Dans um accident de navegation hier soir, au large de gravoir arm.
– La police afirme que M. Jeremy a été blessé, Quand son bateau a touché um ponton.
– Le bateau a éyé endommagé, em baseball, les cardinals de saint-louis espèrent remporter d´autre victoires.
– Je dirai: Je me place du côté de Dieu!
– Je vais me tirer une balle.
– T´en veux à ta mère, mais c´est elle qui va t´emmener.
– C´est papa et maman, arrète les prénoms. Et lâche-la un peu.
– Pouquoi la defendre? Tu pourrais nous dire des trucs. Des truc qu´elle a faits pour nous monter contre elle. Ce n´est pas vrai?
– Marisa. Tu vas entre en retard Dépêche-toi, vas-y
.
Alors elle allait entrer dans un magasin.
– Ça m´a láir très bien. Vous savez faire preuve d´inicitive?
– Oui, absolument.
– Je sais gérer une equipe, sans empiéter sur l´autorité du patron et sans plomber l´ambiance.
– Bien, maerci.
– Vou pouvez commencer ceweek- end?
– Vous pourriez m´excuser un seconde?
– Je n´ai pas rêvé.
– Qu´est-ce qu´il y a, encore?
– J´en sais rien. Tree se bat aussi?
– Il n´a rien. Il est dans les vapes.
– Qu´et´ce que tu lis?
– Tu l´aime vien, hein?
– Oui, mais celui-là, c´est un essai. Sur la fois où il a écrit le scénario de Moby dick pour un grand réalisateur. Il a bossé non-stop. Il a failli en mourir. Je me disais um truc.
– Oui?
– Peut être que quand tu auras investi de l´argent, ou je sais pas quoi, je pourrais en emorunter pour aller quelque part.
– En vacances?
– En Floride ou une connerie comme ça?
– Bien sûr.
Maintenant la police ariive.
– Jacques delahyes, de la homicides;
– Sr. Mario? Voua avez un seconde?
– Oui. Em quoi puiss-je vous aider?
– Nous enquêton sur la disparition de Bruce Almeida.
– Vous coulez dire par là?
– Ce que je dit. Personne n´a de nouvelles de lui ou de as fiancée une semaine. Quand lui avaez-vous parle pour la dernière fois?
– Mardi dernier, je crois.
– À que l´heure?
– Je ne sai pas trop. Elle a disparu?
– D´après nos relevés à 23h47, ce soir là.
– C´est exact,?
– Je pense que oui.
– Vous avez parle pendant une minute et 12 secondes.
– De crois vous avez parlez?
– On ne s´est pas parle.
– Ah non?
– Il la laisse un message.
– Elle a beaucoup déblatéré. IL n´était pas cohérente
– Il avait peut-être bu. Je l´avait appelé plut tôt pour lui dire que je voulais dissoudre le cabinet,Peut-être que…
– Pouquoi dissoudre le cabinet?
– Jel e soupçonnait d´être mêlé à quelque chose d´illégal. Je ne sais pas.
– Pourquoi pensiez-vous ça?
– Son comportement avait changé. Il était inquiet à propôs de quelque chose.
– Je l´ai surpris à passer des appels em espagnoç.
– Vous parlez espagnol?
– Non, un dos três, c´est tout. Je ne savais pas qu´il le parlait, quand j e lui ai posé la question, il est resté vague. C´est l aqui ma….Inquiète.
– C´est tordu hein.
– Papa est un dealer?
– Et moi un toxico, je prends de l´ibuprofène.
– Regarde. Ce son les collègues de papa.
– Contente-toi de regarder du pornô. Sérieux.
– En y repensent, il y a toujours eu queleque chose de louche.
– Vus voyez.
– Tiens. On pense que l´associé de votre mari a été assassiné.
– Assassiné? Attendez.
– Mon Dieu.
– Qu´estce qui vous fait dire ça?
– Comment a-t-il pris la nouvelle?
– Mal. Je vous l´ai d it.
– C´est pour ça que vous avez vidé vos comptes et quitté Belfort Roxo?
– Non, j´ai eu une opportunité commerciale. Que sous-entendez-vous?
– Vous devriez savoir que Mario travaillait avec nous. Et nous donnait des infos sur eux.
– Quoi?
– Oui, ça eux? Demanda Lea.
– Voyon s, Mario. Vous le savez.
– Arrêtons de jouer à ce prtit jeu.
– Ça doit être épuisant nom.
– ILs vous écorchent vif.
– Ce sont des tueurs. ILs vous écorchent vif, ou vos suspendent d´um pont pour faire passer leur message ou biens, s´ils veulent que quelqu´um, ils dissolvente son corps dans de l´acide. On sait que le cartel a tué carlos. Qui sera le suivant? Vous… Vous devez nous dire ce qu´on veut savoir
– J´ignore les liens qu´avait Carlos avec un quelconque cartel.
– On pourras vous proteger. Vous serez en securité.
– Une opportumité s´est présentée à nous et on a choisi de déménager dans um endroit plus tranquille.
– Ti savais qu´il bossait pour eux?
– Á ton avis.
– Je suis désolée.
– Je dois degager le reste du jardin.
– Ça va.
– Je m´habitue aux trahisons. Chérie allons nos se divertir.
– Je ne sais pourquoi, mais j’ai le fantasme de te regarder faire l’amour avec un autre homme. Je te l’ai déjà dit : voir ton désir monter crescendo, sentir toutes les digues rompre en toi, te sentir m’oublier et ne plus prêter attention à moi, te voir devenir chienne, louve, renarde entreprenante et prendre le contrôle de sa longue bite de tes doigts délicats… j’ai envie de te voir la caresser, la lécher, te voir l’avaler et être mouillée de désir. J’ai envie de le voir poser ses mains sur ton corps, sur ton sexe.
Il se lève, enlève sa robe et va dans la salle de bains pour la rincer à l’eau claire. Il est en slip et en bas dim-up. Il vient derrière elle et pendant qu´il nettoie le vêtement dans le lavabo, il descend son slip et vient lui lécher les fesses. Elle se penche et il les écarte pour laisser sa langue aller plus loin. Dans le miroir, il le voit qui baisse son pantalon après avoir pris un préservatif dans la poche, se protège et lui met son long mandrin dans la chatte. Il décharge assez vite. La fraîcheur de ce midi d’automne nous a conduits, ma complice et moi, dans un accueillant restaurant du centre de Copacabana. Ses rencontres réelles étant devenues malheureusement, trop rares, nous sommes contraints, soit de nous rabattre sur les échanges virtuels, soit de faire confiance à l’autre pour partager avec, le récit d’aventures inattendues qui peuvent toujours se produire.
Le mari de Lia découvre très vite son besoin de montrer sa femme dont il est très amoureux et subjugué par sa beauté. Il multiplie photos et films de son égérie mais reste frustré de ne pas l’exhiber, et plus peut-être, à un « spectateur » A l’heure dite, nous traversions la salle pour rejoindre nos nouveaux amis.
Table basse ovale ornée de jolies bougies, banquette de cuir rouge agencée en demi-cercle, lumières tamisées, le tout à bonne distance de la piste de danse. . Lia sombre rapidement dans une spirale d’excès: alcool, cigarette, sexe.
- Tu m’en fais boire un peu ? Notre jeu te plaît toujours ? Tu aimes être mon cocu soumis? Lui dit mon épouse.
- Bien sûr, ma chérie. Chérie, je crois avoir trouvé qui pourra te combler.
– Voilà mon cocu … Alors ça te plait d’être cocu? C’est ça qui te fait mouiller comme une nymphomane? Ah oui ? Si ça te fait plaisir… Voilà… Je voudrais faire l’amour avec un autre… devant toi.
- Je savais que tu seraiscocu. Je t’ai fait cocu.
Sa petite femme déambulait toute la journée, dans une mini-robe légère des plus transparentes dévoilant largement ses charmes. Le regard des hommes en disait long sur leurs pensées à la vue de son décolleté profond, de son dos-nu et de ses longues jambes bronzées par le soleil des plages espagnoles.
Un petit haut à bretelle en soie noire (mon pyjama en fait) ; et j’enfile une veste de laine qui l’arrive à mi-cuisse. Ses jambes sont nues et la veste à bouton offre un décolleté raisonnable. Son mari travaillait dans l’import-export. Il achetait pour revendre diverses choses, et plus particulièrement, des bois précieux. Ses affaires gérées d’une main efficace, l’homme s’était vite enrichi, et n’avait plus cessé de le faire. Auguste Lajoie était bel homme, charmeur, et toujours prêt à satisfaire les désirs féminins Parfois, devant un miroir, elle s’amusait à se comparer à une Cléopâtre moderne. De grands yeux gris nuancés de bleu lui mangeaient le visage… Sa bite cherche l’entrée de ta chatte, elle vient seulement buter sur le parvis de tes plaisirs… Il a jouit dans sa chatte, répandant une fois de plus son sperme en elle. Sauf que là ce n’était plus la bouche ! Il s’est longuement écoulé en moi, son sperme débordant sur ses cuisses resserrées par le plaisir que je venais d’avoir. Ce soir, Lia comme elle l’a dit s’appeler portera une robe rouge. Luc aime ça) et en petite robe rouge moulante sans aucun sous-vêtements en dessous (j’aime se promener sans culotte et Mario se demande parfois de sortir sans rien mettre sous sa robe.
Avec le policier:
– Tu es un sociopathe. Tu le sais? Mais ta femme est superbe, un vrai canon,
- Oui, je n’ai pas à me plaindre. Elle me donne beaucoup de plaisir. Son corps dégageait beaucoup de sensualité. Elle savait, en se pinçant la lèvre inférieure avec les dents puis en clignant des yeux, faire naître un certain charme. De profil, sous ce tissu fluide, avec ce ballottement des seins dans leur corbeille verte, elle exhalait encore plus d’érotisme. Bien involontairement, car son regard révélait une grande inquiétude intérieure,
D` accord Les rudimentos du blanvhiment d´argent, Il trouve une mallette contenant cinq millions de dollars, Desolé. A ause de fisc, tu ne peux acheter rieb de valeur.Tu ferais de mieux de mettre l´argent à la banque.
– Que est ce qui tu achetes? Um yatch? Um chateau? Une voiture de sport? Mais violà leproblème. Cet argent est trop propre.Il y a de sortir d´um coffre-fort,Est faut le veillir um peu. Le traîner dans la boue. Lui rouler dessus, Em sui til te faut uma affaire qui utilize du liquide. Quelque chose de sympa et d´agréable.avec une contabilité facile manipuleur, Aux liquides de ton affaire sympa. Le toute quite um banque américaine poue une banque dand um pays qui se fiche du fisc.Ensuite ils se retrouvent sur um compte cheque classique, et voilà.Il suffit d´avoir accès des trois millions de dollars terminaux,
–
– Parce que je ne veux pas être vu avec un agente du DEA?
– Je ne veux pas foutre en l´air , ma couverture parque nub es est um isigne à 80 km à la ronde, ne veux pas prendre le petit-déjeuner tout seul? Pas de reçus de cartes de crecit, tout ça.Tout ajuste les cinq millions
– Fait attention à toi. Ton agente est blabchi il est aussi valade que celui de n´import qui,
– Qui vous me reconnaissez pas si vus voyez pas mês seins?
– IL y a une malette qu´il faut tourner, comme sur casier,
– Je ne veux rien entendre de désagréable. J´ai eu une sale Journée,
– ls sont tou comme ça.
– On va oû?
– Comment ça?
– On baise mintenant, non?
– Tu pourras donner ça au serveur?
– Elle est vendu quarante mil de plus que prevu.
Mario est nascu dans cet Maison, Lia est née dans une autre.
– O l´a vendue aussi.
Je sais que niveau confiance, on n´est pas trop.
– Crache le morceau, Mario, Si onenvisageait, sans s´attacher de proteger nos économie.
– Vu que le FDI est venue à la Maison.
– Tu mettres nos biens à ton nom.
– Ce seras plus inteligente.
– Pas de question.
– Sils t´arrêtent, ils géleront tout.
– Ça n´arrivêra pas,
– Et si on utilissait cet argent pour quelque chose? Dans l´innobilier
– J´aie de noua sauver ta nouvelle carrière,
– Nou mourriez sans oxigene.?
– Je ne sais pas.
– S a y es, je suis mort?
– Tu veux essayer.
–
– C´est froide. Il y aurais um conflit d´intéresse.
–
– Comment ça?
– A cause à la grace. Je ne veux rien entendre de désagréable, j´ai eu sale journnée.
– Je refuse d´être une victime de tout ce qui nous arrive. D´autant que je suis em partie responsable.
– Desolé, disais quoi?
– Que,s-ce qu´il foutent près de ma maison.?
– C´est sûrement parce que Berta a cogné l´année des deux. Ils essyant de nous intimider. On retrouve des animaux moerts, maintenant, ils nous tornent autor.
– C´est sûrement parce Carla a frappé l´aîné.
– L´insomnie n´apporte rien de bon.
– Tu as raison,
– Allons prendre l´air et reflechir à comment blanchir plus de blé. Quelque chose de plus costeaud. Dela poudre aux yeux, allez enfoiré.
– Je dois voler, c´est quoi, les règles du jeu? J´em sais rien.
– C´esat un nouveau jeu.
– C´est quoi, le jeu?
– Je tente le tout pout le tour? Je vole? Il faut changer les régles.
– Eteins cette chancon, Tuck! Reflechis mon pote, bordel!
Je ne veux denigrir l´ancien gérant, vous savez qu´il violait la loi.
Ce que veux dire et vous faire comprendre. C´est que vous avez de droit, le droit l´estime de vous-même. Le droit de vous respecter. D´avoir le respect des clientes,, les respect de vos employeur, moi le premier.
– Je suis heureux de vous dire que le choses vont changer. Em mieux, en résumé vous n´auriez plus jamais à tailler de pipe à qui quece soit.
– Comment on droit gagner notre vie?
– Quant à Ruth soit 25% de ce qu´on qu´on a recupere hier au club. C´est mieux que de fair ela plonge.
– C´est n´est pas um cadeau, dit Ruth..
– Ça t´arrive de dire merci?
– Dans t avie, tu l´as déjà dit?
– Je les est mérité.
– Ce prends ça comme non.
– Une biere vous ferais du bien.
– Vous avez deviné.
– J´ai une bonne et une mauvaise nouvelle.Je vais commencer pela bonne. J´ai investi dans une autre affaire, donc je ne sera plus dans vos pattes.
– La mauveise nouvelle, c´est que je reviens dans Quelques heures.pou regarder le match et toucher mês 50 dollrs.
– Malheureusement, pendant le match, je ne serais pas là.
– C´est un costume locale.
Le proprietaire do bar em prison est liberté il est retourné à as petite ville où il avait um club de strip-tease Mais il est assassine avec une injection de venon dans son cou.
Ma femme portait ce jour là une robe aux fines bretelles, boutonnée sur l’avant. Les bretelles étaient trop fines pour pouvoir porter un soutien gorge. Son opulente poitrine était donc libre sous le tissus et je pouvais admirer ses seins tressauter quand nous prenions un nid de poule, nombreux sur cette route. Elle portait des sandales à lanière à haut talons compensés, qui mettaient en valeur ses jambes bien galbées quand elle marchait. Très excitante en fait…Alors que j’observais ses cuisses bronzées, la voiture roula dans un nid de poule et j’entendis un grand boum. Heureusement je ne roulais pas trop vite et je pu me garer rapidement. Le pneu avait éclaté, ce qui n’était pas trop grave, mais l’essieu avait bougé, ce qui l’était plus. Je ne pouvais pas changer la roue moi-même. Je sortais mon téléphone portable pour appeler une dépanneuse, mais malheureusement pas de réseau! Le prochain village se trouvait à 5 km et nous y trouverions certainement un téléphone. Comme nous devisions avec mon épouse pour nous mettre en route à pied, un camion de transport de bois arrivait en sens inverse. Je lui fis des signes pour l’arrêter, et nous fûmes soulagés de le voir se ranger sur le bas côté. Un homme d’environ 55 ans, pas très grand et ventripotent dans son marcel en descendit. L’archétype du routier! Il nous demanda ce qui nous arrivait et comme je lui expliquais il me dit qu’il n’était pas étonné. La route n’est pratiquement empruntée que par des camions de bois surchargés, et les poids conjugué aux rigueurs de l’hiver provoquait tellement de ravages que la DDE avait renoncé à réparer. Il nous proposa de nous amener à un relais de transport forestier qui se trouvait un peu en retrait à 3 kilomètres, ou nous pourrions téléphoner, manger et même dormir si le dépannage prenait trop de temps. Il était vraiment sympa!
Bien sur nous acceptâmes et il me dit de monter à droite de la banquette et que ma femme, la plus petite des deux se mettrait au milieu. Il faudrait se serrer un peu mais on n’en avait pas pour longtemps. Je m’installais et je remarquais que quand ma femme grimpa les marches pour s’asseoir il s’avança pour avoir une vue sur ses jambes et sa culotte. Je ne fis pas de remarque, je n’avais pas envie qu’il prenne la mouche pour si peu. La cabine de son camion n’était pas bien grande et c’est vrai que nous étions serrés comma des sardines. Chaque fois qu’il passait une vitesse, sa main heurtait, involontairement mais plus certainement volontairement, le genou de mon épouse qui ne pouvait pas l’enlever. Je remarquais qu’il prenait aussi beaucoup de nid de poules et qu’il jetait, sous prétexte de me parler, des coups d’œil appuyés sur la poitrine de ma femme. Heureusement nous arrivions déjà, et alors qu’il engageait la marche arrière pour garer son camion, ma main frotta la jambe de ma femme un peu plus haut, jusqu’à mi cuisse, relevant même un peu la jupe. Il fit comme de rien n’était. Me femme tira sur sa robe, comme il descendait du véhicule. Quand elle voulut descendre, il attendait toujours en bas, et soudain elle trébucha. Heureusement, le routier se trouvait là quand elle tomba et il put la récupérer dans ses bras. Il l’avait toutefois saisi par une fesse et par un sein, et il ne se gêna pas pour profiter de l’aubaine et pour flatter les rondeurs de mon épouse. Il la reposa à terre, et encore sous l’émotion de sa chute, elle ne parut pas s’être aperçu de quoique ce soit.
C’est les vacances, les enfants ne sont pas la.
Ma femme me dit :-chérie, j ai envie de baiser demain soir.
-aucun problème, je vais bien te faire jouir comme une bonne salope.
-Non, tu te trompes, comme une « grosse salope » mais sans toi, je veux me faire prendre par deux grosses bites mais devant toi, et tu devras m’obéir à chacun de mes désir Il acquiesce avec un léger sourire.
Alors ça t’excite de voir ta petite femme sous le sexe d’un autre mâle. Tu voudrais encore le voir bien remplise par sa grosse queue.
– Tout ce que tu voudras ma chérie.
– Tu vas m’épiler le sexe pour que je sois bien douce pour mon amant.
– Tu n’as jamais voulu le faire pour moi.
– Et bien maintenant je veux bien. C’est pour toi… et pour lui.
. À mi-parcours, il arrêtent dans une station-service pour faire le plein et prendre un café. Debout autour d’une petite table ronde, nous dégustons le nectar noir en observant les quelques clients de l’espace-bar. En entrant sur l’aire de repos, Il ralentit au maximum pour bien reperder les lieux ; il constata avec plaisir qu’aucun véhicule n’était stationné. Il se gara à une trentaine de mètres du bloc sanitaire ; l’éclairage discret des lampadaires lui garantissait une certaine discrétion.
-Allez y occupez vous de moi, je suis à vous.
Très excitante en fait…on identique à celui de notre sauveur. Il y avait un bâtiment annexe qui semblait être des chambres, de style Motel. e routier les expliqua que c’était le relais des forestiers. Les compagnies forestières s’étaient cotisées pour le construire et y avait installé un gérant pour que les chauffeurs puissent s’y arrêter pour pas cher. Le routier lui précéda dans le relais et les découvent une grande salle, à la fois bar, restaurant, salle de billard et de télé. Il y avait environ une vingtaine de routiers dans la salle. Il salua plusieurs collègues et les proposa de lui offrir une bière, bien sur eux avaient accepté. Il lui dit qu’il y avait plusieurs cabines pour téléphoner près des toilettes.
Le premier était jeune, environ 25 ans, très maigre et petit. Le deuxième était un espèce de monsieur muscle au crane rasé, tout à fait dans le style Monsieur propre. Le troisième avait environ 45 ans, portait une barbe sale et il lui manquait plusieurs dents. Je m’aperçu qu’il y avait déjà quelques verres de vide sur la table. Comme elle prenait le sien en expliquant le résultat de ses coups de fil, les hommes commandèrent une
Sa femme qui venait de finir sa cinquième bière lui glissa qu’il fallait qu’elle aille aux toilettes et s’éloigna en chancelant sur ses talons compensés. Les hommes la suivirent du regard, il fit celui qui ne voyait rien semblaient complètement normaux. Son épouse revint quelques instants après, toute rouge. Je lui demandais si ça allait, elle me dit que oui, mais qu’il n’y avait qu’un seul WC à la turque pour les hommes et les femmes avec une porte qui ne fermait pas bien. Et quand elle s’est mise à uriner, un homme à ouvert la porte. Elle l’a refermé immédiatement mais dans le mouvement elle a uriné sur sa culotte, qu’elle a été obligée d’enlever. Cela lui fait rire, et pompette comme elle est, elle rit aussi.
Un des routiers nous propose alors de faire un billard. Mon épouse accepte, elle aime bien ce jeu. Je regarde l’heure et m’aperçois qu’il faut que je repasse un coup de téléphone au dépanneur. il leur dit d’y aller que je jouerai la deuxième partie. Ils finissent ses bières et je me dirige vers la cabine de téléphone, pendant que ma femme et les routiers vont aux tables de billard, tout en recommandant une nouvelle tournée au passage.
Il est maintenant complètement saoul et je me trompe de numéro trois fois avant d’avoir le dépanneur. Il me dit qu’il ne pourra pas venir ce soir car il a terminé son service et qu’il viendra à la première heure le lendemain. J’ai du mal à lui expliquer ou ils sont et ou est la voiture, mais après de longues minutes, il a compris. Il faut dire que j’avais du mal à avoir l’esprit clair. En passant au bar je demandais au patron, un géant d’au moins deux mètres et 150kg, si il lui restait une chambre de libre et il lui rassura en lui disant qu’il m’en réservait une.
Quand Il rejoins les nouveaux amis au billard, c’est à sa femme de jouer. Il s’aperçoit qu’un bouton de sa robe s’est défait, et que son décolleté est maintenant carrément obscène. Quand elle se penche pour jouer, ses deux gros globes apparaissent et si on est bien placé on doit pouvoir distinguer les tétons. Trois des routiers sont d’ailleurs juste en face d’elle. Bien sur, elle ne s’est aperçue de rien. Alors que j’aurais du intervenir pour qu’elle reboutonne sa robe, comme anesthésié par l’alcool, Il n’at rien dit. Après tout, sur la plage elle fait bien du sein nu, alors… Tout à ces réflexions,. Elle avait simplement oublié qu’elle avait une robe courte et surtout qu’elle n’avait plus de culotte. Le résultat fut que sa robe se souleva, dévoilant le bas de ses fesses et ses lèvres intimes à la vue de tous ceux qui étaient derrière elle. On voyait même une partie de sa toison rousse. Toute concentrée à son coup, elle frappa la balle et la rentra, sautant de joie et exultant, tout en tapant dans la main de son partenaire. Tout avait été très vite, et je n’avais pas eu le temps d’intervenir.
Le coup réussi permit à l’équipe de sa femme de remporter la partie et plusieurs toasts furent encore portés. sa femme lui dit qu’elle se laissait la place et qu’elle allait s’asseoir car elle était un peu « pompette ». Complètement bourrée, oui…
Ma femme était allongée sur le dos sur le lit, sa robe déboutonnée jusqu’à la taille, dévoilant entièrement ses gros seins. Le routier qui nous avait secourus lui avait relevé les jambes sur ses épaules et était en train de la pilonner de son sexe épais, alors que deux de ses amis se masturbaient en caressant les seins de mon épouse. Celle-ci semblait presque endormie, le regard dans le vide. Comme il l ’approchais, le routier qui l’avait soutenu pour l’amener aux toilettes, et qui se trouvait derrière la porte, me prit par le bras :
– Je préfère ça, t’es sympa et je voulais pas que cela se passe mal entre nous.
Il ne sait pas ce qui l’a pris d’acquiescer, mais certainement le mélange de l’alcool, de la puissance érotique de la scène à laquelle j’assistait et du récit que le routier venait de faire ont eu raison de ses limites. Il doit même avouer que malgré l’alcool, j’étais pris d’une puissante érection.
André, le routier qui la besognait en ce moment commença à gémir, sortit son gros sexe et répandit sa semence sur la toison rousse de son épouse tout en la traitant de salope, de pute…
La place laissée vide fût alors immédiatement investie par un des autres routiers qui se masturbait auparavant. Il ne fut pas long à venir et en poussant de gros râles et éjacula au fond de sa femme. Son compère n’eut pas le temps de la pénétrer et il rapprochât son sexe du visage de mon épouse et le recouvrit de sa liqueur épaisse et chaude et visant au maximum lia bouche. Son épouse ne réagissait toujours pas, étant comateuse Attiré par le bruit, le patron fît alors irruption dans la chambre.
– Qu’est-ce qui se passe ici? Ce motel n’est pas un bordel!
– Calme toi Jeff, c’est pas une pute et un mac, c’est un couple « libéré »
– Ah, ok, alors dans ce cas là, pas de raison que je n’en profite pas hein?
– Vas-y, fais-toi plaisir!
Je n’en revenais pas, c’est de ma femme qu’ils parlaient!
– Regarde comme ta salope de femme aime se prendre des grosses bites. Même dans son sommeil elle aime la bite! Tu l’as bien eu Guy?
– Oui en gros plan!
En tournant la tête, je s’aperçus que le dénommé il avait sortit son téléphone portable et filmé la scène. Au point ou ils en étaient…
Le patron sortit alors son membre gigantesque et retourna sa femme sur le ventre. Elle ne broncha pas. Il lui releva les fesses et entreprit de la pénétrer en levrette, de plus en plus violemment. Il profita de la position pour lui pénétrer l’anus avec le pouce, en utilisant le mélange de sperme te de cyprine comme lubrifiant.
– Et bien ta salope de femme doit pas avoir eu beaucoup l’occasion de se faire enculer…Sa rondelle est bien serrée!
– Non, je ne l’ai jamais sodomisée.
– Et bien il y a un début à tout, mais on va pas commencer par moi, sinon elle va en crever!
Tout en continuant de la besogner, il fit rentrer deux de ses énormes doigts dans l’anus de ma femme en les faisant coulisser de tout leur long. Il commença à pousser des han de bûcheron et à accélérer encore le rythme. Il sortit alors son pieu du fondement de mon épouse et présenta son gland à l’entrée de l’anus dans lequel il éjacula après avoir enlevé ses doigts.
– Allez à toi André, agrandit lui le trou
André présenta son sexe à nouveau gonflé de désir à l’entré de l’anus de mon épouse, frotta son gland contre le sperme étalée et appuya de tout son poids. L’anneau résista un petit moment, puis se détendit et s’ouvrit, laissant pénétrer en son sein le membre érigé.
– Je savais que cette salope allait se laisser enculer
– Quand on y sera tous passé dessus, tu pourras lui défoncer le cul quand tu voudras, elle sentira plus rien passer.
Il voyait en gros plan l’anus de ma femme distendu, subir les coups de butoir du routier. Il se cramponnait à ses fesses et la sodomisait violemment en poussant des cris roques. Au bout de 4 ou 5 minutes, il lui inonda le fondement de semence chaude et se retira, aussitôt remplacé par un de ses compères. Ils la besognèrent ainsi chacun leur tour. Quand vint le tour du patron, malgré les multiples pénétrations que l’anus de mon épouse avait subit, il eut du mal à la pénétrer, tant son membre était phénoménal. Il demanda à ses collègues de lui écarter les fesses, et tenant sa verge à mi hauteur, appuya sur la rondelle récalcitrante. Soudain, le gland énorme fut comme aspiré et la colonne de chair pénétra d’un coup. Dans son inconscience, ma femme poussait de petits cris, mélange de douleur et de plaisir, peut-être.
Une fois empalé profondément, le patron souleva mon épouse comme un fétu de paille, s’allongea sur le lit en la tenant au dessus de lui, nous présentant sa poitrine et son sexe écartelé. Répondant à l’invitation silencieuse, un des routiers s’avança et lui pénétra le sexe, lui prodiguant la première double pénétration de sa vie. Pendant que le patron continuait à la besogner comme un damné, ils se succédèrent un après l’autre et je dois avouer que cette fois ci il prit son tour, jouissant comme jamais je ne l’avais fait. Quand nous eûmes tous finit, le patron se retira de son fourreau. L’anus était distendu à un tel point que l’on pouvait voir profondément à l’intérieur, il retourna sa femme et se positionna au dessus de son visage.
Il éjacula dessus en déversant une quantité de sperme incroyable. L’intégralité du visage de son épouse était maculé par le sperme, du front jusqu’au menton. De grosse trainée coulaient de ses lèvres dans sa bouche entrouverte. Il essuya son gland aux cheveux roux de ma femme et nous laissèrent seuls. Il en profitais pour la sodomiser, n’étant pas sur quíl pourrait le refaire un jour et je lui éjaculait aussi sur le visage. Après cela il la déshabillait complètement, la lavais et la mettais au lit.
Le lendemain, ils n’avaient pas prononcé un mot au sujet de la soirée, mais il voyait bien que pendant quelques jours elle a eu du mal à s’assoir…
Fin
Ivan Ribeiro lagos