Juliette, après avoir gouté plusieurs fois à la queue de son frère, fantasme maintenant sur celle de son papa, qu’elle n’a jamais eu dans le corps. Souvent, elle se donne à son frère en cachette. Mais aimerait que son papa la baise aussi.
Un jour, les deux se mettent nus pour se mettre nus dans le salon. La coquine a envie de se faire défoncer. Elle s’agenouille devant son frère et lui saisit la queue. Elle commence à le branler énergiquement, la verge grossie de plus en plus, Marc, le frère grogne de plaisir sous les coups de poignets de sa jeune salope de sœur. Elle décalotte le gland et le gobe comme une vorace. Sa bouche avide suce, te tète comme une affamée le gland violacé.
Soudain le papa Roger entre dans la pièce, il reste cloué sur place, il n’en croit pas ses yeux, son fils et sa fille s’ébattent sur le canapé.
Les deux le regardent, mais continuent de se faire plaisir. Roger se laisse tomber dans un fauteuil, ses yeux brillent. Soudainement, Juliette enjambe son frère et dirige sa queue vers sa chatte en chaleur. Elle regarde son papa en souriant et, s’empale fortement sur la queue tendue de son frère. Son papa, toujours muet, sursaute, il serre les cuisses, sa queue commence à enfler, mécaniquement, il pose sa main dessus et la presse pour atténuer le flux sanguin qui irrigue sa queue.
Mais c’est plus fort que lui. Il dégrafe son pantalon et sort de son slip sa queue qui prend encore du volume. Il la saisit et la branle fermement en regardant ses enfants baisers devant lui. Il serre les dents, en se masturbant comme un sauvage.
Le corps de sa fille qui monte et descend sur la queue de son fils le rend dingue.
Souvent la jeune salope le regarde en gémissant comme une bête. Ses yeux l’implorent presque de se joindre à eux. Roger se cabre en poussant un rugissement de fauve. Sa semence gicle avec force sur son pantalon et le sol.
Les râles de sa fille l’excitent si fort qu’il continue de se branler, en ne perdant aucunes images du spectacle. Il se lève, s’approche du couple en furie, il plaque sa fille contre le torse de son fils et place sa queue contre la petite porte de service. Juliette pousse un cri :
-Oui papa, encule-moi, vas-y !
Roger enfonce sa queue brutalement comme un soudard dans le cul accueillant de sa fille. Le bougre la défonce comme jamais il ne l’a fait avec sa femme. Les gémissements de la jeune prise en double sont terribles, les queues entrent et ressortent en prenant de la vitesse.
Soudain Juliette se cabre en hurlant, sa jouissance est atroce. Elle a l’impression que son corps se vide de son jus tellement elle gicle.
Les pénétrations sont si intenses qu’elle se laisse tomber sur le sol.
Mais le papa ne se désaccouple pas de sa monture, il est bien ancré en elle et recommence de lui ramoner le cul à grands coups de pilon. Juliette hurle :
-Oui papa plus fort, éclate- moi le cul, explose ta salope de fille !
Les assauts incessants ont vite raisons de la résistance de la chienne en chaleur, elle se cabre et jouit du cul comme jamais. Le papa, infatigable, lui démonte le cul avec violence, il se bloque et remplit le cul de sa fille salope de son sperme gluant. Il a juste le temps de retirer sa queue du cul de sa fille qu’elle lui saisit et lui suce jusqu’à ce qu’il lui décharge son sperme dans la bouche.
Juliette avale avec gourmandise le nectar que son papa lui a offert généreusement.
Valeriane