Logan retire de la chatte dilatée de sa maman son énorme bite. Fier de lui, il l’agite devant sa maman qui lui dit :
-Tu es un monstre mon chéri, tu as fait mal la chatte à maman, je te pardonne, car c’était trop bon !
Marc délaisse le cul de son fils et dit en riant :
-Assez de palabres, passant aux choses sérieuses, Aller Juliette, prends la pose, ton fils va te sonder le trou du cul et, je ne veux pas rater cela !
Juliette, un peu fébrile, se met à quatre pattes, elle pose sa tête entre ses bras, se cambre pour offrir son œillet à son fils. Logan se place, derrière elle, il enduit ses doigts de salive et les fait tourner sur la petite fleur ridée. Sa maman, pousse de gros soupirs puis se cabre, un doigt s’enfonce dans sa gaine étroite. Il tourne, en elle, en faisant un petit va- et-vient.
Marc regarde le visage de sa femme qui se crispe légèrement sous le doigté de son fils. Le bougre retire l’intrus, crache sur l’anus et y enfonce deux doigts. Sa maman lâche un gémissement en se cambrant davantage. Le fils intentionné ramone la gaine sans brusquerie.
Les visiteurs tournent dans l’étui qui les enveloppe parfaitement. Le ramonage augmente en intensité. Juliette ne peut retenir ses râles de plaisir. Marc s’impatiente, il regarde le couple et dit :
-aller fiston qu’est-que tu attends prends lui le cul, ne me fais pas languir !
Logan retire ses doigts et place son gland hors norme contre l’anus qui est encore secoué par de petits frémissements. Il prend sa maman par les hanches et pousse. Elle se cabre en soufflant comme un animal. Un long râle rauque sort de sa gorge. Le gland a réussi à s’enfoncer dans son conduit anal qui n’a jamais reçu d’aussi gros visiteurs. Lentement, l’anaconda s’enfonce dans ses entrailles.
La douleur est atroce, Juliette grimace en serrant les dents. Inexorablement, le monstre s’enfonce dans son rectum distendu à la limite de la rupture. Marc a les yeux écarquillés, il salive abondamment, sa queue est dressée comme un mât de cocagne. Jamais il n’aurait imaginé que sa femme puisse avoir dans le cul une aussi grosse bite.
Le bougre se branle comme un sauvage en entendant sa femme geindre de douleur. Il marmonne :
-Oui fiston, ouvre ta maman en deux, fais la gueuler, oh putain je vais décharger !
Marc envoie sur le dos de sa femme plusieurs giclées de sperme, qu’il s’amuse à étaler sur le corps de sa femme en souffrance. Lentement, le monstre de 24 cm de long et des 6, 5 cm de diamètre, s’enfonce entièrement dans le rectum
distendu comme jamais.
La maman croit que son cul va éclater tellement il est dilaté. Logan attend un moment que sa maman s’habitue à la dilatation de cul. Petit à petit, la douleur s’estampe. Son rectum s’adapte au calibre du monstre qui l’occupe.
Logan commence à faire un très lent va-et-vient, sa maman souffle comme un bœuf en poussant quelques gémissements. Petit à petit, la cadence augmente. Juliette se surprend à agiter sa croupe, l’enculage devient de plus en plus rapide. Les gémissements de la maman sont bruyants, elle ne cesse de dire :
-Oh putain, oh putain comme il m’éclate le cul, oh regarde Marc, sa queue me défoncée, il va me faire mourir, je sens que je vais jouir !
Marc stimule son fils :
-Vas-y Logan, c’est le moment, démonte lui le cul, vas-y vas-y elle va jouir !
L’enculage devient démentiel, les coups de reins puissants font cabrer la maman qui geint de plus en plus fort. Soudain, elle se cabre, pousse un râle presque inhumain et jouit du cul. Sa chatte envoie une giclée interminable de cyprine. Marc reste euphorique devant le spectacle, il saisit le clito de sa femme et le branle fortement.
Juliette hurle :
-Oui, oui, Logan plus fort mon chéri, oh mon Dieu je vais réjouir !
La bite coulisse dans le cul de Juliette avec violence, les hans de bucheron que poussent le fils enculeur, excite le papa qui se replie derrière son fils et l’empale sauvagement. Logan se cabre et remplit le cul de sa maman avec sa semence visqueuse. La douce chaleur de la liqueur épaisse, fait re-jouir Juliette qui hurle de plaisir.
Marc besogne avec rage le cul de son fils, les deux hommes jouissent ensemble, la deuxième décharge de son fils dans ses entrailles, fait couiner la maman comme une bête en rut.
Le papa grogne :
-Putain que tu as un bon cul fiston, je ne me lasserai jamais de te le bourrer !
Bonne famille ; ça donne beaucoup de plaisir; Kerci