À peine levée, Manon prépare le petit déjeuner pour ses enfants. Son mari est deja parti à son travail. Juliette et son frère sont jumeaux, Logan est le premier à sortir de la douche, c’est en caleçon, qu’il descend l’escalier quatre à quatre. Il est gai comme un pinson. Il fonce dans la cuisine, enlace sa maman qui était penchée sur l’évier.
Il se plaque contre elle et lui donne une multitude de baisers sur la nuque, il la flatte :
-Hum maman tu sens bon, même en blouse tu es magnifique !
Manon lui répond :
-Merci mon chéri, tu es gentil !
Le garçon qui est presque un homme, serre fortement sa maman contre lui, son bassin est collé au fessier charnu de sa maman. Il ondule du bas ventre, en charmant sa maman par des mots doux. Il lui mordille le lobe de l’oreille, le suce doucement. Manon pousse de gros soupirs, inconsciemment elle passe ses mains derrière elle et saisit les hanches de son fils. Elle tire doucement dessus en ondulant du bassin.
Logan glisse sa langue dans l’oreille de sa maman qui sursaute en poussant un gémissement terrible. La bouche avide de Logan, glisse sur le cou de sa maman et l’embrasse tendrement.
Manon n’a pas encore réagi, elle soupire de bonheur, elle sent contre ses fesses l’érection naissante de son fils, sans se rendre compte de ce qu’elle fait, elle appuie doucement sa croupe contre le mat qui se dresse de plus en plus.
Logan fait faire à son bas-ventre quelques vas-et-viens. La masse imposante de sa verge qui appuie fortement sur les fesses de sa maman, lui fait reprendre conscience. Elle se dégage brusquement, se retourne, les deux visages sont si près l’un de l’autre que les souffles chauds se mêlent. Manon est fébrile, les regards ne se quittent pas, la maman dit faiblement :
-Mais qu’est qui nous prend, nous devenons fous !
Logan l’enlace et lui couvre le visage de baiser, sa maman le repousse doucement en répétant :
-Oh toi, toi Logan, cesse ce petit jeu mon chéri !
Mais le coquin, pose ses lèvres sur celles de sa maman, sa langue glisse sur les lèvres de sa maman qui manque de défaillir. Elle lui répète :
-Arrête, arrête, Logan, je suis ta maman !
Le bougre en profite qu’elle a la bouche entrouverte pour y glisser sa langue, il la noue à celle de sa maman qui tente de le repousser en vint en appuyant fortement sur sa poitrine. Le jeune Garçon est costaud. Les langues se nouent, la maman tape de moins en moins fort sur la poitrine de son fils.
Lentement, elle passe ses mains autour de son cou et accepte son baiser. Les gémissements étouffés que les deux poussent, sont ceux de deux amants.
Logan dégrafe un à un les boutons de la blouse de sa maman, comme chaque matin après sa douche, elle revêt sa blouse avec rien en dessous pour préparer le petit déjeuner, après elle aura plus de temps pour s’habiller.
Les seins magnifiques jaillissent et tombent doucement sur le torse de la maman, qui ne sait que faire, elle regarde son fils avec des larmes plein les yeux. Sa blouse tombe sur le sol, elle à un geste de protection, elle tente de mettre ses mains devant son intimité.
Logan lui saisit les poignets, lui écarte légèrement les bras en disant :
-Tu es si belle maman, pourquoi cacher de telles merveilles !
Il pose sa bouche sur un mamelon et le suce doucement, sa maman rejette sa tête en arrière en poussant un très gros soupir. Longuement, le fils, aimant, se délecte avec les mamelons de sa maman. Les tétons ont doublé de volume, Logan ne peut s’empêcher de les rouler entre ses doigts. Sa maman geint de bonheur, entre deux gémissements elle dit :
– Non, non, mon chéri, nous ne devons pas faire ça, ce n’est pas sain !
Pour toute réponse, il sort de son caleçon sa verge raide comme une barre de fer. Il saisit la main de sa maman et la pose dessus. Manon sursaute, elle a un geste de recule :
-Prends-la maman, je t’en prie ! Lui demande son fils.
Timidement, la maman honteuse enserre dans sa main le manche gorgé de sang. Elle le regarde et, au bout d’un moment, se met à le branler faiblement. Elle ravale sa salive et dit :
-Mon Dieu, mais qu’est que je fais, je suis une catin !
Logan l’encourage :
-Vas-y maman, branle-moi, plus vite !
Elle répond complétement désemparée :
Mon Dieu je branle mon fils, je suis une pute de bas étage, je suis folle !
-Oui maman, soit une bonne pute, lâche-toi, oublie que je suis ton fils, je suis sûr que tu es une bonne pute !
La main de Manon branle de plus en plus vite le membre de son fils, les mots crus de son fils ne l’ont pas laissés de bois, Logan se dit qu’elle doit aimer être traitée de la sorte. Car plus il l’insulte, plus elle y met de la vigueur.
-Vas-y pouffiasse branle ton fils, suce lui la bite sale putain !
-Oui, oui, tout ce que tu voudras mon chéri, oui je suis une pute !
Manon décalotte le gland et lui donne de nombreux coups de langue. Logan est aux anges, il passe sa main dans la longue chevelure de sa maman en lui en appuyant sur la tête pour qu’elle gobe la verge. Manon gobe l’engin et le suce avidement, Logan se raidit et hurle :
-Branle-toi salope pendant que tu me suces, aller vas-y !
Rapidement, sa maman plaque sa main sur sa chatte qui est trempée de cyprine et, elle enfonce trois doigts dans sa gaine brulante. Elle se fouille terriblement, tout en suçant, elle geint de plaisir. Loga
Amandine