Un après-midi d’été de chaleur et de luxure dans la vingtaine

By | 24 de novembre, 2019

Mon ami Pierre, que j’ai beaucoup rencontré cet été, m’a invité à son urbanisation, où il y a une piscine communautaire, je portais mon bikini préféré (dont je vous ai déjà parlé, je l’appelle le bikini au cas où quelque chose arrive), nous sommes à une heure entre l’eau et la serviette, parler, prendre un bain, manger….et commence à caresser mon ventre, le piercing, descend jusqu’à ma culotte de bikini où tout était perceptible, à tout cela il remarquait un énorme paquet sur le point de quitter le maillot de bain… nous avons croisé les regards, m’a pris par la main, m’a pris au rez-de-chaussée de l’immeuble où personne ne se trouvait et puis a glissé la main sur ma culotte pour atteindre la chatte, pour voir combien il faisait chaud. Elle a tripoté avec ses doigts le long de ma petite fissure pendant que je collais vos seins contre sa poitrine et lui embrassais le cou, elle était détachée, j’ai enlevé le haut pour qu’elle puisse manger mes mamelons calmement, puis ses baisers sont descendus vers mon ventre, sous mon slip de bikini et elle a commencé à lécher ma chatte humide à l’extérieur puis un peu dedans pour se concentrer sur le clitoris. Sa langue était ferme et rapide, je saisissais sa tête pour lui demander de continuer quand j’avais chaud, sans être près de courir, je me suis séparé de lui et j’ai tiré comme je pouvais le coq hors du maillot de bain, après quelques tortillements tournant le poignet je me suis agenouillé et lui ai dédié une pipe de rêve. Pas un millimètre de sa bite n’a échappé aux caresses de ma langue, des oeufs au gland….et quand j’ai remarqué qu’il était sur le point d’arriver, je me suis levé et lui ai demandé de bien vouloir “entrer en action”. Il posa mes mains sur le mur, souleva une de mes jambes et l’enfila lentement et avec amour jusqu’à ce qu’elle soit complètement calée.

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J’étais fondu, ses mains caressaient mes trayons et mes mamelons comme des pierres, tandis que les miens nous tenaient tous les deux contre le mur. Le rythme montait peu à peu et quand j’ai senti fondre, je lui ai demandé de mettre son doigt dans mon nombril comme je le pouvais avec le piercing, quelque chose qui me met mille fois, j’ai dit “pour le nombril, oui, pour le nombril” puis il a arrêté de me donner et a demandé déconcerté “qu’est-ce que tu mets dans ton nombril ?”, j’ai ri et dit non, ça avec le doigt. D’ailleurs, j’étais déjà en train de la mettre entière, son bassin était contre mon cul et mon excitation était si grande qu’elle ne gémissait plus, soudain l’orgasme est arrivé et j’ai crié un peu, j’ai rebondit mon cul contre sa queue pour le passer partout dans ma chatte, j’ai même eu des vertiges et il a fallu le sortir, transpirer comme un porc et haleter avec un sourire dans ma bouche. Je me suis retourné et je l’ai embrassé, mais il était là avec sa bite comme une poutre devant moi et sans avoir reçu sa récompense. Moi, qui étais nu, j’ai pris une serviette et enlevé le préservatif, j’ai posé la serviette sur le sol et, à genoux, je lui ai fait une nouvelle pipe.

Une minute plus tard, je lui ai demandé s’il voulait faire quelque chose de nouveau, mais il avait besoin de me faire confiance, alors je l’ai couché, je me suis mis sur quatre pattes à côté de lui, j’ai attrapé sa queue avec la gauche et avec la droite, j’ai commencé à caresser la base de ses oeufs jusqu’à atteindre son petit trou. J’ai commencé à le stimuler doucement, son excitation augmentait au fur et à mesure que le condamné gémissait, jusqu’à ce qu’un de mes doigts glisse dans son anus. Quand j’ai finalement atteint sa zone, il a commencé à gémir de plus en plus, c’est alors que j’ai remis ma bite dans ma bouche, j’ai remarqué qu’elle vibrait follement, alors je l’ai sortie et ai commencé avec mes meneons à la “courir maintenant”. Je lui ai dit “si tu baises, ça te plaît ? j’adore ça mmm ce riche sii, ça continue…”, aux quelques secondes son sperme est sorti tiré vers son ventre, le mien, mon visage, le sol… entre halètements je hurlais la paille et d’un baiser pendant qu’il était couché sur mon torchon je le remerciais pour le bon moment que nous venions de passer.

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